PRESENTATION DU DEPARTEMENT
Le département du Loiret de la région Centre-Val de Loire tient son nom de la rivière Loiret, une résurgence de la Loire. Il est situé à une centaine de kilomètres au Sud de Paris.
Il appartient, avec le Loir-et-Cher et l'Eure-et-Loir, à l'ancienne province historique de l'Orléanais.
Il est limitrophe des départements de l'Essonne, de Seine-et-Marne, de l'Yonne, de la Nièvre, du Cher, de Loir-et-Cher et d'Eure-et-Loir.
Son territoire est plat, d'une altitude voisine de 100 m, situé dans la moitié Sud du Bassin Parisien. L'altitude maximale est de 273 m et la minimale de 66 m.
Il comprend quatre aires urbaines : Gien, Montargis, Orléans et Pithiviers.
Des régions naturelles : le Val de Loire composé de la dizaine de kilomètres d'alluvions située de part et d'autre de la Loire, il est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis Sully-sur-Loire ; la Beauce plateau calcaire situé au Nord-Ouest du fleuve ; le Gâtinais, à l'Est autour de Montargis, est plus vallonné et plutôt calcaire dans sa partie Ouest et argileux vers l'Est ; la Puisaye, entre le Berry et le Gâtinais ; la forêt d'Orléans, au Nord de la Loire et au Sud de la Beauce ; la Sologne, vaste forêt marécageuse, constitue l'essentiel du Sud du département ; le Berry à l'extrême Sud-Est ; l'Orléanais, regroupant le Val de Loire autour d'Orléans, ainsi que la forêt d'Orléans.
Héraldique
D’azur à la divise ondée d’argent accompagnée de trois fleurs de lys d’or, le tout surmonté d’un lambel aussi d’argent.
Il a été créé vers 1950 par Robert Louis, dessinateur héraldiste officiel de la commission des sceaux et armoiries de l'État et a été officiellement adopté par le Conseil général du Loiret et la Commission d'héraldique urbaine du Loiret le .
Hydrographie
La Loire traverse le département. Son débit aux environs d'Orléans est essentiellement souterrain et provoque parfois des effondrements circulaires du lit, les bimes. Les bancs de sable y sont instables.
Le fleuve arrose les villes de Briare, Gien, Sully-sur-Loire, Châteauneuf-sur-Loire, l'agglomération Orléans Val de Loire, Meung-sur-Loire, Beaugency.
Le Loiret, résurgence de la Loire, donne son nom au département (12 kms de long). Il rejaillit dans le parc Floral de la Source dans le quartier d'Orléans La Source.
Le Cosson, l'Essonne et le Loing empruntent également le territoire du département qui est coupé en deux : le Nord et le Nord-Est appartiennent au bassin hydrographique de la Seine, le Sud et le Sud-Est appartiennent à celui de la Loire.
Quatre canaux traversent le département, les canaux d'Orléans, de Briare, latéral à la Loire et du Loing.
Histoire
Le peuplement très ancien de l'actuel territoire loirétain, où des hommes ont vécu dès le Paléolithique, est attesté. Les peuples celtes des Carnutes et des Éduens s'installent dans la région au cours de la Tène (voir lien Echelles des Temps), développant artisanat et commerce.
La romanisation consécutive à la guerre des Gaules est rapide et permet notamment le développement d'un réseau de voies de communication autour de Cenabum, d'agglomérations secondaires et notamment de villes d'eaux comme Sceaux-du-Gâtinais et de fermes et villae dans les campagnes.
Vers 451, les Huns envahissent la région mais sont repoussés devant Orléans.
Puis les Francs arrivent jusqu'à la Loire. Clovis (466/511, portrait 1 de gauche, mon ancêtre sosa n° 494 610 801 762 400 en 49ème génération), devenu chrétien, entre à Orléans qui devient, à sa mort, capitale d'un royaume franc dont le premier roi est Clodomir. Une période de paix et de prospérité suit sous le règne de Charlemagne (747/814, portrait 1 de droite, mon ancêtre sosa n° 483 018 361 096 en 39ème génération). Jusqu'à Louis VII (1120/1180), Orléans fait figure de capitale.
Peu à peu les rois agrandissent leur domaine. Successivement le Gâtinais, la seigneurie de Montargis, le comté de Gien, la seigneurie de Beaugency sont réunis à la couronne.
Le 6 juin 848, l'archevêque de Sens, Wénilon, sacre Charles II dit le Chauve (823/877, portrait 2 de gauche, mon ancêtre sosa n° 120 754 590 274 en 37ème génération) dans la cathédrale Sainte-Croix d'Orléans et le couronne roi de Francie occidentale et d'Aquitaine.
Le 4 septembre 879, a lieu le couronnement et le sacre de Louis III (863/882) et de son frère cadet Carloman II (867/884) , rois des Francs associés, dans l’église abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Ferrières, près de Montargis, par l’archevêque de Sens, Anségise.
Le 3 juillet 987, le sacre d’Hugues Capet (939/996, portrait 2 de droite, mon ancêtre sosa n° 7 547 161 920 en 33ème génération) petit-neveu du comte Eudes de Paris, roi des Francs à Noyon, met fin à la dynastie des Carolingiens et fonde la dynastie capétienne.
Le 3 août 1108, Louis VI dit Le Gros (1081/1137, portrait 3 de gauche, mon ancêtre sosa n° 471 697 620 en 29ème génération) est couronné roi des Francs à Orléans par Daimbert, archevêque de Sens, en présence des prélats et des barons du royaume.
Aux XIVème et XVème siècles, la Guerre de Cent Ans dépeuple et ruine les campagnes ; elle prend fin dans la région par le siège d'Orléans et la victoire de Patay grâce à l'intervention de Jeanne d'Arc.
Le XVIème siècle est marqué par une renaissance architecturale et des lettres mais aussi par la Réforme qui voit Orléans s'ériger en capitale du protestantisme puis le massacre de la Saint-Barthélemy en 1572.
Le territoire de l'actuel département du Loiret fait alors partie de la généralité d'Orléans, créée en 1558.
Au XVIIème siècle de grands travaux sont réalisés comme le canal de Briare, le canal d'Orléans, les premières levées de Loire.
Ils sont suivis au XVIIIème siècle par d'autres travaux comme le Pont Georges V à Orléans.
Après les disettes de la fin du XVIIIème siècle, la Révolution est l'occasion de grands espoirs, avec la création d'un nouveau cadre administratif, le département.
Le XIXème siècle est marqué par une succession de régimes politiques et le Second Empire, par une période de prospérité économique reposant sur la production agricole (céréales en Beauce, vigne en Val de Loire), l'évolution des moyens de transport et de nouvelles industries.
La Première Guerre mondiale puis la Seconde Guerre mondiale meurtrissent durement le département qui, occupé, est aussi le siège d'une résistance vive. Cinq villes subissent d'importants dommages : Orléans, Gien, Sully-sur-Loire, Châteauneuf-sur-Loire et Saint-Denis-de-l'Hôtel.
Après la période de reconstruction, le Loiret, situé aux portes de Paris, est un des départements qui bénéficient le plus des grands changements des Trente Glorieuses. Sa population augmente de 19%.
Le XXIème siècle, voit le Loiret subir les effets de la crise économique.
Tourisme/Patrimoine
Plusieurs édifices subsistent dans Le centre historique d’Orléans qui a été en partie détruit par les bombes en 1940, comme la maison de Jeanne d'Arc.
Les façades claires et homogènes du XVIIIème siècle et des édifices religieux, tels que la Cathédrale Sainte-Croix et le pont royal, présentent également un intérêt majeur à Orléans.
De nombreux châteaux :
Le château de la Ferté à La Ferté-Saint-Aubin (photo ci-dessous) s’élève sur les bords de la rivière Le Cosson, à 22 kms au Sud d'Orléans, dans la région naturelle de Sologne.
Il est probable que dès le XIème siècle, il existe, à l’emplacement actuel du château, un châtelet dépendant du comté de Blois et gardant le passage du Cosson. Plusieurs familles s'y succèdent durant tout le Moyen âge.
En 1575, les terres de La Ferté passent par héritage à la Maison de Saint-Nectaire.
La construction du château débute en 1625 pour Henri Ier de Saint-Nectaire (1573/1662) selon les plans de l'architecte Théodore Lefebvre.
Elle se poursuit sous le règne de son fils, Henri II François de La Ferté-Senneterre (1599/1681, portrait de gauche), pair du royaume et maréchal de France. Il y fait construire les deux bâtiments d’écuries : à droite les grandes écuries pour les chevaux de selle et à gauche les petites écuries pour les chevaux de service. Les deux pavillons d’entrée et le porche datent également de cette époque.
Henri II s’illustre dans de célèbres batailles telles Rocroy, Ypres, Lens ou encore Montmédy. Cependant, sa réputation est écornée par les rumeurs courant sur son épouse, Madeleine d’Angennes, dame de la Loupe (1629/1714, portrait de droite) accusée de mener une vie légère et de s’être compromise dans la célèbre Affaire des Poisons.
En 1746, le château est acheté par Ulrich Frédéric Woldemar de Löwendal (1700/1755, portrait 2 de gauche) maréchal de France, un des grands chefs militaires de Louis XV, ami proche du maréchal de Saxe qui occupe le château de Chambord , à 30kms. La Ferté est confisqué à son fils lors de la Révolution Française.
Le château passe ensuite aux mains de plusieurs propriétaires comme Nicolas Bertrand, conseiller secrétaire du Roi et Julienne d’Argy, comtesse de Talleyrand-Périgord, avant d’être vendu en 1822 à François Victor Masséna (1799/1863), duc de Rivoli et fils du maréchal d'Empire.
A la fin du XIXème siècle, une chapelle est construite à la demande de Madame Dessales, qui fonde également un orphelinat en souvenir de son fils mort très jeune.
Puis la famille O’Gorman rachète le château en 1911, réaménage l’intérieur et conserve l’édifice par voie d’héritage jusqu’en 1987. Date à laquelle, Jacques Guyot, en devient, et en est toujours, propriétaire à ce jour. Il l’ouvre au public pour financer les importants travaux de rénovation qui s’imposent.
Le château, entouré de douves, est constitué du petit château, dans la partie gauche du corps de logis actuel, construit entre 1590 et 1620 et du grand logis ou grand château et des deux pavillons qui encadrent l'entrée du XVIIème siècle.
Le parc de 40ha, est aménagé en jardin à la française dès 1630 puis modifié en parc paysager à partir de 1822.
En 1992, le jardin est réagencé tel qu'il était au XVIIIème siècle. Il comporte sept bras d'eau, dont les eaux du Cosson.
Dans le grand château, le hall d'entrée est orné d'une Diane et d'une Vénus d'Arles, un grand salon et un bureau précède la chambre de la comtesse O'Gorman (1834/1913) et une vaste salle à manger. Les cuisines sont situées au sous-sol (photo ci-contre).
Aujourd’hui, l'orangerie est aménagée en salle de réception.
Le château et son parc sont partiellement classés et inscrits au titre des Monuments Historiques en 1944, et .
La forteresse de Yèvre-le-Chatel (photo ci-dessous) est située sur un éperon rocheux, surplombant une voie romaine reliant les villes de Sens au Mans, à la limite du territoire des peuples gaulois des Carnutes et des Sénons durant l’Antiquité. L'oppidum protège une voie de communication, puis deux entités romaines après 52 avant J.-C.
La première mention de Yèvre apparaît en 855 dans une donation faite par Charles II dit le Chauve (823/877) à l'abbaye de Fleury de Saint-Benoît-sur-Loire.
Le baron Arnoul de Yèvre, neveu de l’évêque d’Orléans, y fait édifier en 988 une demeure fortifiée.
En 993, répondant à une plainte des moines de l'abbaye pour rapines continuelles et mauvaises coutumes à l'encontre du baron, le roi des Francs, Hugues Capet (939/996), nous renseigne sur le côté turbulent du personnage. Pour le punir, sa demeure est partiellement détruite. Sous la pression de l'abbaye, le château est deux nouvelles fois ruiné avant 1018 et vers 1040 mais toujours reconstruit.
Après le décès du baron Arnoul, le roi intervient plusieurs fois pour soumettre ses successeurs.
Le rattachement du château à la couronne de France se situe vraisemblablement vers 1112, lorsque Louis VI dit le Gros (1081/1137) contraint Foulques, vicomte du Gâtinais, à lui céder Yèvre-le-Châtel dont il fit une puissante châtellenie.
Les rois Louis VI en 1120, Louis VII dit le Jeune (1120/1180) en 1162 et Philippe II dit Auguste (1165/1223) en 1222 y signent des chartes.
Vers 1200, sur ordre de Philippe Auguste, le château est reconstruit selon les derniers perfectionnements de l'architecture militaire rapportés des croisades, notamment les arcs de décharge augmentant la résistance au travail de sape.
En 1344, Philippe de France (1336/1375), fils du roi Philippe VI de Valois, reçoit la châtellenie lors de la création du duché d'Orléans et fait réaliser des travaux sur le site : trappe du pont de devant, poterne principale et guichet de la seconde poterne. La galerie de la courtine Ouest est découverte, abaissée puis recouverte, la charpente supérieure menaçant de s'écrouler.
Pendant la Guerre de Cent Ans, les troupes anglaises ravagent la région. Néanmoins, durant l'offensive de 1429, Yèvre reste avec Montargis la seule place forte du Nord de la Loire à ne pas tomber aux mains des Anglo-bourguignons. Sa garnison participe même activement aux combats dans la région jusqu'en 1436. Le capitaine de la place est Nicolas de Giresme, chevalier de l’Ordre de Rhodes (Ordre militaire et hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem) et compagnon d’armes de Jeanne d'Arc (1412/1431). A la fin de la guerre, de 1442 à 1445, d'importants travaux sont entrepris : toitures et galerie du château.
À la fin du XVème siècle, du fait de l'extension du domaine royal et des progrès de l'artillerie qui rendent ses défenses obsolètes, Yèvre-le-Châtel perd de son importance et son rôle de place-forte.
En 1562, durant les Guerres de Religion, le château est investi par les huguenots, les voûtes intérieures s'effondrent.
Un inventaire de 1610 indique que le château est en ruine et inhabitable.
Pendant la Révolution Française, la dégradation continue, le château sert de carrière de pierres.
En 1834, Victor Hugo visite le site et écrit : Yèvre-le-Châtel contient à lui seul un couvent et un château ruinés, mais complets.
Aujourd’hui, cet ensemble castral militaire, dont le donjon forme un quadrilatère flanqué d'une tour ronde à chaque angle, est entouré d'un fossé sec. L'entrée dans la basse-cour est protégée par un châtelet d'entrée cantonné de deux tours, muni d'une herse et d'une porte à double vantaux. Il existait deux poternes avec herse et portes à vantaux au Sud et à l'Est de l'enceinte. L'entrée dans le château se fait en gravissant un escalier du XVIème siècle qui mène à la cour haute du donjon. Lors de l'usage militaire, l'accès se faisait par deux vantaux de bois s'abattant sur une pile, au Sud et à l'Est, reliés au donjon par une échelle mobile.
La forteresse est classée aux Monuments Historiques. Le village est labellisé Plus Beaux Villages de France en 2002.
et encore ... le château de Sully-sur-Loire, de style Renaissance, construit au XIVème siècle pour Guy VI de la Trémoille dit le Vaillant (1346/1397), classé au Patrimoine Mondial de l’UNESCO en 2000 ; le château de Chamerolles de Chilleurs-aux-Bois, construit en style Renaissance sur les ruines d'une ancienne maison-forte du XIIème siècle par Lancelot Dulac, entre 1500 et 1530, abrite aujourd’hui le Musée des parfums ; ou encore le château de Malesherbes du XVIIIème siècle …
Des édifices religieux :
L’église Saint Gault de Yèvre-le-Châtel (photo ci-dessous) est située un peu en contrebas de la basse-cour du château.
C'est sans doute pour faire oublier les excès de son époux, le baron Arnould de Yèvre, que son épouse, Lucinde, fonde une église sous l'invocation de Saint Gault, saint breton dont les reliques sont apportées dans la région par des moines fuyant l'invasion des Normands.
Elle est dotée au XIIIème siècle d’un bas-côté gothique, son accès par un portique de style ogival laisse supposer des remaniements.
L’église Saint-Lubin de Yèvre-le-Châtel (photo ci-dessous). Au XIIIème siècle, les habitants de Yèvre-le-Châtel obtiennent de l’évêque d’Orléans l’autorisation d’élever une église paroissiale dans le cimetière. Mais, à la suite de l’intervention des moines de Saint-Benoit-sur-Loire, l’évêque revient sur sa décision et les travaux sont interrompus pour ne reprendre qu’après la Guerre de Cent ans, mais l’église n’est jamais achevée.
En 1708, l’évêque autorise la vente des pierres et des matériaux tombés sur le sol, l’église est à la fois inachevée et ruinée.
Les vestiges romantiques de cette église font l’admiration de Victor Hugo en 1834.
et encore ... Les églises de Saint-Étienne de Jargeau, Saint-Aignan d'Orléans, Notre-Dame de Lorris, Sainte-Jeanne-d'Arc de Gien, Sainte-Marie-Madeleine de Montargis… des abbayes : Saint-Benoît-sur-Loire, Notre-Dame de Beaugency… la basilique Notre-Dame de Cléry, la collégiale Saint-Liphard de Meung-sur-Loire, l’oratoire carolingien de Germigny-des-Prés ...
Des paysages, parcs et jardins exceptionnels :
L’arboretum national des Barres ; L’arboretum des Grandes Bruyères, à Ingrannes ; L’herboretum du domaine des Voisins ; le jardin des plantes d'Orléans ; les jardins de la Javelière à Montbarrois… mais encore : le parc floral de la Source, le parc et le potager du château de La Bussière ; le parc du château de la Ferté-Saint-Aubin ; le jardin du château de Pont-Chevron…
Le département compte une réserve naturelle régionale, la réserve naturelle régionale des Grandes Bruyères.
Le Loiret est l’un des 18 départements à avoir reçu en 2007 le trophée du département fleuri. Six communes du Loiret ont reçu la quatrième fleur au concours des villes et villages fleuris, il s’agit des communes de Briare, Olivet, Quiers-sur-Bézonde, Saint-Cyr-en-Val, Saint-Jean-de-la-Ruelle et enfin de Fleury-les-Aubrais qui s’est vu remettre le Grand Prix. L’écluse de Dammarie-sur-Loing a reçu le prix spécial des Voies Navigables de France.
Gastronomie
L'andouille de Jargeau, le pâté d'alouette de Pithiviers, les volailles fermières et leurs dérivés, le blason d'Orléans (fromage), le safran et le miel du Gâtinais, le vinaigre d’Orléans, l’Olivet au foin ou cendré, les vins d'appellation d'origine contrôlée d'Orléans, Orléans-cléry et des coteaux du giennois, le Pithiviers (gâteau aux amandes), l'alcool de poire d’Olivet, les praslines de Montargis, le Cotignac (gelée de coings) d’Orléans, les macarons aux fruits d’Orléans, la réglisse de Beaugency, les moinillons de Saint-Benoît-sur-Loire, le financier de Sully, le pain d'épices de Pithiviers, les crottes du chien de Montargis, les croquets et croustinettes giennois…
Dans ce département, 6 villes ou villages
ont été témoin de la vie (naissances/baptêmes/unions/décès…)
de 9 ancêtres du IXème et Xème siècle
Sources
Sites et photo : Wikipedia. Editions des Riches Heures, Mairie de Yèvre.
Livres : Histoire du roi Charles VII, par Jean Chartier (1661).
Vidéo : YouTube, superdodod59 et Benjamin.
Date de dernière mise à jour : 17/11/2017