PRESENTATION DU DEPARTEMENT
Le département du Haut-Rhin de la région Grand-Est fait partie de la région historique et culturelle d'Alsace avec le département du Bas-Rhin. Il occupe la partie méridionale de l'Alsace. La majeure partie du département est située dans la plaine d'Alsace, sur toute la partie Est, avec les régions naturelles du Ried dans le Nord-Est et la Hardt dans le Sud-Est. Dans l'Ouest s'étendent les Hautes-Vosges, tandis que le Jura alsacien s'étend dans la partie Sud, le Sundgau.
Il est limitrophe des départements du Bas-Rhin, des Vosges et du Territoire de Belfort. Il partage 66,44 kms de frontières avec l'Allemagne à l'Est (land du Bade-Wurtemberg), le long du Rhin, et 78,37 kms avec la Suisse au Sud (cantons du Jura, de Soleure, de Bâle-Campagne et de Bâle-Ville).
Son point culminant se situe au Grand Ballon, dans le massif des Vosges à 1 424 m d'altitude, et le plus bas à 179 m, le long du Rhin.
Création du département
Le département est créé à la Révolution française à partir de la moitié Sud de la Province d'Alsace (Haute-Alsace). Ses limites sont modifiées plusieurs fois :
En 1790, il comprend les districts de Colmar, Altkirch et Belfort.
En 1795, il est composé des cantons d'Altkirch, Ammerschwihr, Belfort, Colmar, Dannemarie, Delle, Eguisheim, Ensisheim, Fontaine, Giromagny, Habsheim, Hirsingue, Horbourg, Huningue, Landser, Lutterbach, Sainte-Marie-aux-Mines, Masevaux, Munster, Neuf-Brisach, Ferrette, Ribeauvillé, Riquewihr, Rouffach, Saint-Amarin, Sainte-Croix-aux-Mines, Lapoutroie, Cernay, Soultz, Thann et Turckheim.
En 1798, il absorbe la République de Mulhouse et les dernières enclaves suisses au Sud.
En 1800, il absorbe entièrement le département du Mont-Terrible et cinq arrondissements sont créés : Colmar, Altkirch, Belfort, Delémont et Porrentruy.
En 1814, il perd les territoires ayant fait partie du Mont-Terrible, rendus à la Suisse, sauf l'ancienne principauté de Montbéliard (qui forme à l'époque 2 cantons, Audincourt et Montbéliard).
Après la victoire des coalisés à la bataille de Waterloo en 1815, le département est occupé par les troupes badoises et saxonnes de juin 1815 à novembre 1818.
En 1816, il perd les communes suivantes rattachées au département du Doubs : Abbévillers, Aibre, Allenjoie, Allondans, Arbouans, Audincourt, Badevel, Bart, Bavans, Bethoncourt, Bretigney, Brognard, Courcelles-lès-Montbéliard, Couthenans, Dambenois, Dampierre-les-Bois, Dasle, Désandans, Dung, Étouvans, Étupes, Exincourt, Fesches-le-Châtel, Grand-Charmont, Issans, Laire, Mandeure, Montbéliard, Nommay, Présentevillers, Raynans, Sainte-Marie, Sainte-Suzanne, Saint-Julien-lès-Montbéliard, Semondans, Sochaux, Taillecourt, Valentigney, Le Vernoy, Vieux-Charmont et Voujeaucourt.
En 1871, il est en grande partie annexé par l'Allemagne (Traité de Francfort). La partie restée française forme alors le Territoire de Belfort ; le département du Haut-Rhin est alors appelé Bezirk Oberelsass (district de Haute Alsace).
En 1919, il redevient français (Traité de Versailles) ; le Territoire de Belfort demeure séparé avant d'être érigé en 1922 en département distinct.
De 1940 à 1944, le Bezirk Oberelsass est rétabli pendant l'occupation allemande.
Le décret du 2 juin 1960 rattache le Haut-Rhin à la région Alsace.
En 1982, il est rattaché à la région Alsace nouvellement créée.
Le 7 avril 2013, une consultation référendaire organisée au sujet de l'éventuelle création d'une collectivité territoriale d'Alsace en Alsace par fusion de la région Alsace et des deux départements du Haut-Rhin et du Bas-Rhin est repoussé par les électeurs à 55,74 %.
Héraldique :
De gueules à la bande d'or accompagnée de six couronnes du même, trois en chef et trois renversées en pointe.
Le blason est aux armes du landgraviat de la Haute-Alsace qui devient propriété de la Maison de Habsbourg en 1130. Le choix des couronnes comme meubles, qui date de 1418, traduit les aspirations des Habsbourg à la royauté et s'inspire sans doute des couronnes des rois mages dont le culte était répandu dans la Vallée du Rhin.
Langues
Au commencement du XIXème siècle, l'Alsacien (dialecte allemand) est encore l'idiome d'une partie considérable du département. Ce dialecte se rapproche beaucoup de celui en usage en Suisse.
Le Welche (dialecte lorrain roman) est parlé en Alsace à l’Ouest du Haut-Rhin, spécialement dans l'arrondissement de Ribeauvillé et dans l'extrême Sud-Ouest du Bas-Rhin.
Le Français est, surtout dans les villes, le langage ordinaire des habitants.
Histoire
Avant l’arrivée des Romains, le pays est habité par des peuples celtiques, les Rauraques et les Séquanais. Les villages existant à cette époque sont : Gramatum (Offemont), Larga (Largitzen), Arialbin (Binningen), Brisac (Vieux-Brisach), Olin (Edenbourg), Argentonaria (Hornbourg).
Les traces du passage des Romains sont beaucoup moins incertaines : 50 forts sont élevés sur les bords du Rhin pour protéger le pays contre les menaces d’invasion et 8 légions sont employées à leur garde. Des routes percées, souvent à travers les forêts défrichées, relient entre elles les anciennes villes agrandies, ou de nouvelles cités qui se forment… s’ensuivent deux siècles de paix et de prospérité.
En 451, Attila anéanti tout sur son passage.
En 496, la victoire de Tolbiac (près de Cologne) vient asseoir sur toute la contrée le pouvoir de Clovis (466/511, portrait 1 de gauche, mon ancêtre sosa n° 494 610 801 762 400 en 49ème génération) et la domination des Francs. Saint Materne est le premier révélateur de la foi chrétienne, les progrès religieux sont rapides sous la monarchie franque.
La haute Alsace (Sundgau) comprise d’abord dans le duché d’Alemanie, forme ensuite avec la basse Alsace (Nordgau) un duché particulier du royaume d’Austrasie, jusqu’à la mort de Childebert II, époque à laquelle, en vertu du Traité de Verdun, elle est incorporée dans le nouveau royaume de Lorraine.
Parmi les cinq ducs qui représentèrent d’abord en Alsace l’autorité royale, Etichon Adalric (645/689, portrait 1 de droite, mon ancêtre sosa n° 3 864 146 903 136 en 42ème génération), qui succède à Boniface et à Gundon, est le personnage le plus illustre que l’Alsace puisse revendiquer. Son fils Adalbert (665/722, mon ancêtre sosa n° 1 932 073 451 568 en 41ème génération) et son petit-fils Luitfrid (-/767, mon ancêtre sosa n° 966 036 725 784 en 40ème génération) héritent de sa dignité.
Puis les ducs d’Alsace sont remplacés par des commissaires royaux : les comtes d’Eguisheim, les ducs de Lorraine, la Maison de Habsbourg, les comtes de Flandre, de Paris, de Roussillon, de Brisgau, d’Altenbourg, de Zaehringen, de Bade et de Lentybourg ; et par les femmes cette illustre famille tient aux empereurs d’Allemagne, à ceux de la maison Hohenstauffen et à Hugues Capet (939/996, portrait 2 de gauche, mon ancêtre sosa n° 7 547 161 920 en 33ème génération) par Robert IV dit le Fort (815/866, portrait 2 de droite, mon ancêtre sosa n° 60 377 295 360 en 36ème génération).
Le gouvernement des ducs d’Alsace n’est signalé par aucun événement politique important.
Le règne de Charlemagne (747/814, portrait 3 de gauche, mon ancêtre sosa n° 483 018 361 096 en 39ème génération) continue pour la province l’ère de paix et d’organisation qu’elle doit à l’administration précédente.
En 916, l’Alsace incorporée à l’empire germanique voit une nouvelle série de ducs prendre le titre de ducs de Souabe et d’Alsace. On en compte 26, dont les 15 premiers sont de différentes familles allemandes, et les 11 autres appartiennent à la maison impériale de Hohenstauffen. Le dernier, Conradin, envoyé en Italie à l’âge de 16 ans à la tête d’une armée pour disputer à Charles d’Anjou le royaume de Pouille et de Sicile, est vaincu, prisonnier et décapité à Naples en 1268.
Les landgraves succèdent aux ducs. Ils n’ont pas de résidence fixe et tiennent leurs assises à Meyenheim, à Ensisheim, à Rouffach et souvent en pleine campagne. Ils sont tous de la Maison de Habsbourg.
Rodolphe Ier de Habsbourg est élevé au trône impérial en 1273.
Jusqu’au XVème siècle, au milieu des invasions normandes et anglaises, des revendications armées des rois de France, des démêlés avec la Maison de Bourgogne, des discordes intestines… l’art grandit, l’Alsace a ses peintres, ses sculpteurs, ses musiciens, ses savants, ses poètes et Gutenberg invente l’art typographique.
La doctrine de Luther se répand rapidement dans tout le pays. Entre ses premières prédications et la fondation par Calvin d’une Église réformée à Strasbourg, en 1548, se place le douloureux épisode de la Guerre des rustauds, lutte des paysans contre la noblesse, et le massacre des anabaptistes, apôtres de l’égalité absolue.
Si Louis XIV apporte le repos au pays, le despotisme de son gouvernement froisse vivement les populations. Le traité d’annexion garantit aux anciennes villes impériales le maintien de leurs franchises et privilèges, mais la violation de cet article essentiel du contrat suscite des séditions et des révoltes qui ne cèdent qu’aux victoires de Turenne, de Condé et de Créqui.
Le règne de Louis XV ne donne à l’Alsace aucune restitution de ses libertés ravies.
La proclamation des principes de 1789 cimente l’union de l’Alsace et de la France. L’égalité des cultes est surtout une précieuse conquête.
Le 15 juillet I870, le gouvernement français déclare la guerre à la Prusse. Le résultat est désastreux : la France est amenée au bord de l’abîme, amputée de deux riches provinces, l’Alsace et la plus grande partie de la Lorraine.
Patrimoine/Tourisme
L'architecture typique des villes et villages est le reflet d'une région de caractère : les fortifications de Neuf-Brisach, les collégiales de Thann et de Colmar, les villages d’Hunawihr, Eguisheim et Riquewihr, labellisés plus beaux villages de France et la ville de Thann, labellisée plus beau détour de France. ..
Les châteaux :
Le château d’Orschwihr (photo ci-dessous), dès son origine, la richesse du village se fonde sur la viticulture, qui bénéficie de coteaux bien exposés, surtout au Bollenberg et au Pfingstberg (Grand Cru).
Les vestiges du château actuel ont succédé à un manoir du XVème siècle que la famille Andlau possède en fief et habite jusqu'en 1524. Elle le cède à noble Jean de Rixheim. Vingt ans plus tard cette propriété est rétrocédée aux nobles d'Erdmannsdorf, puis parvient par mariage à la famille Truchsess de Rheinfelden.
Au cours du XVIème siècle le simple manoir agricole est transformé en château.
En 1722, il est incendié, puis reconstruit.
Après sa restauration, il passe entre les mains de M. Griset.
Son dernier propriétaire est François Willemann, conseiller à la Chambre des Comptes des évêques de Strasbourg, qui renonce à ses droits en faveur de son seigneur.
Vendu pendant la Révolution Française comme Bien National, le château et ses dépendances sont transformés en exploitation agricole.
Victime d'un nouvel incendie en 1934, il ne subsiste plus de nos jours que l'exploitation viti-vinicole, qui ceinture les anciennes fortifications, les restes de deux tours et un pont en pierre enjambant le fossé.
Il est actuellement la propriété d’Hubert Hartmann et un terroir d'élection pour le Riesling.
Il fait l'objet d'une inscription au titre des Monuments Historiques depuis en 1988.
Le château du Morimont d'Oberlarg (photo ci-dessous) est construit sur un rocher qui domine le passage entre Oberlarg et Levoncourt. Il est mentionné pour la première fois en 1183 et attesté en 1271 quand le comte de Ferrette en fait oblation à l'évêque de Bâle. Quelques vestiges du château primitif, le Niedere Burg, subsiste à l'Ouest du château. La tour en U, premier logis, est sa partie la plus ancienne.
Tout comme les châteaux de Ferrette et du Landskron, le château du Morimont passe sous possession des Habsbourg et son histoire se confond avec l'Autriche antérieure.
Il est détruit par le tremblement de terre de Bâle en 1356.
La famille de Morimont, vassaux des de Ferrette, le reconstruit en 1468.
Pierre de Morimont en est le plus illustre seigneur. Il le transforme en une forteresse adaptée aux armes à feu. Une tour basse casematée et une barbacane, situées au milieu de la courtine Ouest, défendent l'entrée du château. La construction est de forme trapézoïdale, entourée de sept tours et d’une tour d'angle nommée Schlossturm.
Du grand logis Nord, daté de 1552, subsiste sa cave voûtée en berceau et une partie de ses deux tours d'escalier. Une des deux grosses tours est ornée des armoiries de Hans Jacob de Morimont et de son épouse Margarete de Furtenberg. Du logis Sud, subsiste une tourelle d'escalier polygonale.
Après la mort de Jean Jacques de Morimont, entre 1533 et 1538, la famille, connaissant des difficultés financières, le vend aux comtes d'Ortenbourg-Salamanca en 1582.
Lors de la Guerre de Trente Ans, en 1632, il est occupé par les Suédois puis totalement détruit par les Français en 1635.
En 1641, le roi Louis XIV (1638/1715) en fait don à la famille de Vignacourt qui le conserve jusqu'à la Révolution Française, puis le vend au chancelier danois Frederik Ahlefeldt.
En 1826, le château entre dans l'histoire du canton du Jura : Xavier Stockmar (1797/1864), Olivier Seuret, Auguste (1801/1882) et son frère, Louis Quiquerez, s'y retrouvent et font le serment de délivrer le Jura de l'oligarchie bernoise. Cet acte est le point de départ de la lutte qui mène en 1979 à la création de la République et Canton du Jura, 22ème canton Suisse.
Le château sert de carrière de pierres jusqu'en 1864, date à laquelle Auguste Quiquerez dirige des travaux de restauration.
En 1870, la famille Viellard, riches manufacturiers originaires de Morvillars dans le Territoire de Belfort, achète le domaine qui lui appartient toujours.
Le château fait l’objet d’un classement au titre des Monuments Historiques en 1841.
Le château-fort de Wineck (photo ci-dessous) surplombe le village et le vignoble de Katzenthal (à ne pas confondre avec le Château de Wineck de Dambach, dans le département du Bas-Rhin). Il est le seul château d’Alsace à être cerné de coteaux de vignes, et le célèbre grand cru Wineck-Schlossberg en tire son nom.
Construit vers 1200 par les comtes d’Eguisheim-Dabo, il est cité pour la première fois en 1251, lorsque le comte Ulrich de Ferrette donne le château à l’évêque de Strasbourg.
Tenu en arrière-fief par les chevaliers de Wineck, famille patricienne de Colmar, il devient au milieu du XIVème siècle propriété des barons de Rathsamhausen, qui le conservent jusqu’en 1828, c’est alors la famille de Gail qui en est propriétaire jusqu’en 1864.
Se composant à l’origine d’un donjon et d'un modeste logis, le château est, au XIVème siècle, agrandi et entouré d’une muraille d’enceinte, tandis qu’une seconde enceinte est érigée pour délimiter la basse cour.
Le château ruiné aujourd’hui comprend un rempart en fer à cheval et, se dressant sur la face Nord, un donjon de 21 m de haut.
La Société pour la conservation des monuments historiques d'Alsace l’acquiert en 1866 ; elle en est toujours propriétaire. La commune de Katzenthal signe en 2013, un bail emphytéotique de 19 ans avec cette société.
Il est restauré en 1972 par les Amis du Wineck qui le tire de l’oubli et le sauve de la destruction.
Il est inscrit aux Monuments Historiques en 1984 (ruines), et en 1991 (enceinte extérieure).
et encore ... le château de Ferrette, l’un des plus anciens d’Alsace ; le château de Landskron et son donjon du XIIIème siècle, ses tours rondes, les vestiges de sa chapelle, du puits, et des sculptures Renaissance. Transformé en garnison en 1689, sur des plans de Vauban, bombardé et brûlé en 1817, il est classé aux Monuments Historiques en 1923 ; le château de Liebenstein, situé sur un contrefort du Jura, au Sud du village de Liebsdorf, la ruine domine une ferme agricole, sans doute installée dans la basse-cour et les dépendances castrales ; le château de Bilstein à Riquewihr, classé aux Monuments Historiques en 1898 ; le château de Wagenbourg à Soultzmatt, inscrit aux Monuments Historiques en 1987 ...
Le Sundgau, pays des moulins :
Au XIXème siècle, plus de 200 moulins étaient en activité le long des cours d'eau de ce petit comté du Sud : moulins à farine, huileries, foulons à chanvre, scieries, papeteries, forges à martinets.
Chaque moulin est un chef d'œuvre d'ingéniosité :
- Walheim (photo ci-contre), date du XVIème siècle, il a conservé son aménagement hydraulique, sa roue à aube, son système de meunerie et son huilerie. Il est conservé en état de fonctionnement et est classé aux Monuments Historiques.
- Hundsbach s'est arrêté de fonctionner en 1925. A l'extérieur la roue à augets a disparu ainsi que la canalisation d'amenée d'eau mais à l'intérieur tout est resté en place : la machinerie ainsi que la chambre de l'ouvrier à l'étage. Le bâtiment actuel date du XVIIIème siècle mais l'existence de ce moulin est attestée dès 1394. Ce moulin accueille aujourd’hui des chambres d’hôtes de charme.
- Courtelevant, situé sur les bords de la Vendeline, remonte au XVIIème siècle et est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques. Vendu après la Révolution, un incendie le ravage presque entièrement en 1855. Un nouveau moulin est alors construit et l'ancien moulin est transformé en maison d'habitation. Une roue hydraulique d'environ 5 m de diamètre est mise en place ainsi que les procédés les plus modernes de l'époque afin de produire une farine de très bonne qualité. La même famille l'exploite durant un siècle avant qu'il ne soit progressivement abandonné en 1905. Il est resté inviolé et l'ensemble est conservé dans un état exceptionnel. Après d'importantes rénovations, il accueille, aujourd’hui, le Musée des techniques de meulage et produit de la farine grâce à une équipe de passionnés…
Trois réserves naturelles :
- La réserve naturelle du massif du Grand Ventron
- La réserve naturelle de Frankenthal-Missheimle dans le massif des Vosges
- La petite Camargue alsacienne située dans la plaine du Rhin.
La Route des Vins d'Alsace et ses 175 kms de vignes, la Route de la Carpe frite du Sundgau entre les villes d’Altkirch et Winkel ou encore la Route des fromages au départ de la vallée de Munster…
Dans ce département, 2 villes ou villages
ont été témoin de la vie (naissances/baptêmes/unions/décès/inhumations…)
de 7 ancêtres du IXème au XVIIème siècle
Le département et ses cantons (2016)
Sources
Sites et photo : Wikipedia, La France pittoresque, L’Office du Tourisme du Sundgau.
Vidéo : YouTube Jean Michel Beghin.
Date de dernière mise à jour : 17/11/2017