PRESENTATION DU DEPARTEMENT
Le département de la Marne de la région Grand-Est après avoir fait partie de la région Champagne-Ardenne jusqu'en 2016, Il fait partie de la Champagne historique. Il tire son nom de la Marne, rivière qui l'arrose. Il est limitrophe des départements des Ardennes, de la Meuse, de la Haute-Marne, de l'Aube, de Seine-et-Marne et de l'Aisne.
Il se divise géographiquement en trois parties principales : Au centre du département se trouve la plaine champenoise ou Champagne crayeuse, essentiellement recouverte de champs céréaliers. L'Ouest de la Marne est occupé par le vignoble de Champagne, les reliefs de la Côte champenoise et de la Montagne de Reims, où se situe le point culminant du département, le Mont Sinaï, à 283 m d'altitude. À l'est, le paysage est composé de basses collines notamment dans les régions de l'Argonne et du Perthois.
Héraldique
D'azur à la fasce d'argent côtoyée de deux doubles burelles potencées et contre-potencées d'or.
Histoire
Le département est habité depuis le Paléolithique (voir Echelle des Temps), des traces ont été trouvées lors de fouilles dans la région du marais de Saint-Gond.
Les Romains nomment Belgica la province qui s'étend des Vosges à la mer du Nord, dont Durocortorum (Reims), chef-lieu des Rèmes, est la capitale.
Les romains font des Rèmes et des Catalaunes des alliés, et on ne trouve aucun signe de révolte contre la domination romaine.
De nombreuses fouilles archéologiques pratiquées dans le département ont amené d'importantes découvertes en objets Gallo-romains, ainsi qu'une grande connaissance des modes de vie.
Sans heurts ni persécutions des temples s’élèvent en l'honneur de Jupiter, Mars et Apollon.
Le christianisme apparaît dès le IIIème siècle sans subir de répression. Les barbares eux-mêmes semblent respecter ce territoire comme un terrain neutre consacré à la paix, et lorsque Attila en menace la capitale vers le milieu du Vème siècle, on voit s'unir pour sa défense les Francs de Mérovée, les Wisigoths de Théodoric et les légions d'Aetius.
L'Empire romain est remplacé par la monarchie de Clovis. Ce territoire fait alors partie du royaume d'Austrasie.
Sous Charlemagne (747/814, portrait ci-contre, mon ancêtre sosa n° 483 018 361 096 en 39ème génération), l'extension des limites de l'empire fait passer ce territoire dans la Neustrie.
L'autorité royale n'est que théorique, en pratique le pouvoir est aux mains des évêques de Reims et de Châlons, tous deux pairs de France. Ils peuvent réunir une armée de soixante mille vassaux, et l'évêque de Châlons peut battre monnaie.
Jeanne, unique héritière du comte Henri III de Champagne (1244/1274), épouse Philippe le Bel en 1284, ce qui rattache la Champagne à la couronne de France.
La première attaque sur la Champagne de la Guerre de Cent Ans est repoussée par Henri de Poitiers, évêque de Troyes.
Lors des Guerres de Religion, une des premières exactions a lieu lors du massacre de Wassy. Reims est au parti des Guise et Châlons à celui du roi.
La bataille de Valmy, le 20 septembre 1792, est la première victoire de l'armée de la Révolution.
La Marne voit se dérouler la Campagne de France de Napoléon en 1814.
Après la victoire des coalisés à la bataille de Waterloo (18 juin 1815), le département est occupé par les troupes autrichiennes de juin 1815 à novembre 1818.
Lors de la Guerre de 1870, à la suite des défaites en Alsace et Lorraine, les Allemands arrivent dans la Marne, où s'est retranchée l'armée française. À Passavant-en-Argonne, le 25 août 1870, 49 mobiles sont massacrés et une centaine d'autres blessés ; les témoins de ce drame parlent de scènes sauvages de la part des Prussiens. Le comte Patrice de Mac-Mahon (1808/1893) et ses troupes se replient sur Châlons mais sont arrêtés à Beaumont-en-Argonne lors d'une offensive, ils se réfugient ensuite avec l'empereur Napoléon III sur Sedan, dans les Ardennes, où ils se rendent le 2 septembre 1870.
Avant la Première Guerre Mondiale 1914-1918, les ouvrages de défense militaire, établis dans le département, forment avec ceux de Dijon, Langres, Laon et La Fère, une deuxième ligne de fortifications du côté Nord-Est de la France. Ce sont, la place forte de Vitry-le-François et les ouvrages élevés autour de Reims faisant de la ville, où se croisent de nombreuses lignes de chemin de fer, un vaste camp retranché.
Le département voit de nombreux passages de troupes et plusieurs batailles : première bataille de la Marne (5-12 septembre 1914), première bataille de Champagne (14 décembre 1914-17 mars 1915), seconde bataille de Champagne (25 septembre-6 octobre 1915), troisième bataille de Champagne (17 avril-20 mai 1917), quatrième bataille de Champagne (15-18 juillet 1918), deuxième bataille de la Marne (15-20 juillet 1918) et chemin des Dames (16 avril-24 octobre 1917). Ce conflit laisse dans la Marne des séquelles particulièrement importantes. Les sols de la zone rouge sont si dégradés et pollués que 84% de cette zone doit être boisée et interdite aux autres activités. La remise en état de culture ne peut être envisagée que pour les communes de : Cormicy, Loivre, Courcy, Berméricourt, Minaucourt, Massiges, Fontaine-en-Dormois, Gratreuil, Rouvroy, Cernay-en-Dormois, Servon, Ville-sur-Tourbe, et Vienne-le-Château.. En 1921, 1 538 hectares sont conservés en l'état actuel comme vestiges de guerre et emplacement de villages. 7 villages disparaissent, comme Perthes-lès-Hurlus.
Patrimoine/Tourisme
Reims : la cathédrale de Reims, le palais du Tau, la basilique Saint-Rémi, la chapelle Foujita...
Châlons-en-Champagne : la cathédrale, l'église Saint-Alpin, l'église Notre-Dame-en-Vaux, le musée du cloître de Notre-Dame-en-Vaux, le Jard, l'ancienne abbaye des Toussaint...
Épernay : l'avenue de Champagne.
L'Épine : la basilique.
Mondement-Montgivroux : le monument de la Première Bataille de la Marne.
Valmy : le moulin.
Verzy : les Faux de Verzy.
Le Pays du Der et sa route des églises à pans de bois.
Les lieux naturels : le lac du Der-Chantecoq (plus grand lac artificiel d’Europe), la montagne de Reims et son Parc Naturel Régional, le vignoble champenois (photo ci-contre), la forêt d'Argonne, les marais de Saint-Gond…
Les châteaux :
Le château de Réveillon (photo ci-dessous) est édifié, sur les fondations d’un château féodal, en style Renaissance, au début du XVIIème siècle. Entouré de douves, son plan général en U s'ouvre sur une cour pavée. Le domaine englobe de vastes jardins à la française, des communs et une melonnière, ainsi qu'une ferme dont la pièce maîtresse est un colombier de 3500 nids.
Le château actuel est construit entre 1607 et 1617 par Claude II d’Ancienville et sa femme Judith Raguier, dame d’Esternay.
En 1640, le château n’est pas encore achevé : "les lucarnes n’ont point reçu leurs fenestres, ni les murs leur exaucements. La plombinerie est absente aux faîtages, noues, noquets, enfêtement des lucarnes et cheneaux. À l’intérieur, on ne compte plus les carreaux manquants, les ais d’entrevoûtes des planchers inachevés, les portes et les croisées de nulle valeur, le corps de logis principal avec la grande salle n’est ni crépi, ni enduit. Les trous de boulins ne sont pas rebouchés".
De 1642 à 1719, différents propriétaires se succèdent : De 1640 à 1642, Michel Larcher, président en la Chambre des Comptes ; de 1642 à 1672, Jean Galland, qui fait créer les jardins et allées et planter l’allée de Retourneloup, perspective située dans la continuité du jardin à la française ; de 1672 à 1712, Anne Fieubet de Launay ; de 1712 à 1719, Philippe Millien.
En 1719, le domaine est acheté par René Louis de Voyer de Paulmy, marquis d’Argenson (1694/1757, portrait de gauche). Il crée le fronton sculpté côté jardin représentant Minerve, et transforme les baies du corps de logis et des deux ailes. Ces travaux le comblent de dettes et le conduisent à vendre le château en 1730 à Jules Robert de Cotte (1683/1767), architecte du roi. Après quelques réparations, celui-ci entreprend la décoration du château en le dotant de boiseries et de tableaux. Il fait construire les communs pour y abriter ses écuries ainsi que la grille d’honneur de style Louis XV.
Sous l’Empire, le château est vendu au baron, Pierre Joseph Habert (1773/1825), général d’Empire. À la fin du XIXème siècle, sa petite- fille, Jeanne Madeleine Coll (1845/1928, portrait de droite), peintre aquarelliste surnommée l’Impératrice des Roses par Robert de Montesquiou, épouse de Casimir Louis Philippe Lemaire, a une grande notoriété. Elle tient salon à Paris et reçoit l'aristocratie du faubourg Saint-Germain comme Alexandre Dumas fils, Anatole France, Jules Lemaître, et le jeune Marcel Proust (1871/1922). Ce dernier fait deux longs séjours à Réveillon, en 1894 avec son amant Reynaldo Hahn (1874/1947) et en 1895.
Les deux guerres épargnent le château. En 1914, comme Madeleine Lemaire et sa fille Suzette se promènent dans le parc, un officier allemand à cheval saute la haie, fixe son monocle et crie : Je voulais voir Madeleine Lemaire, c'est fait, et repart.
À la mort de sa mère en 1928, Suzette Lemaire s'installe toute l'année au château.
En 1940, le château est occupé par l’armée allemande.
De 1947 à 1992, le château appartient à une famille qui le laisse progressivement dépérir.
Depuis 1992, les nouveaux propriétaires y ont entrepris une très importante campagne de restauration le sauvant d’une ruine annoncée.
La ferme, datée du XVIIème siècle, présente un appareillage de briques et pierres blanches.
Le pigeonnier, construit plus tardivement, est mentionné dans un texte daté de 1697. La restauration de 1992 a porté sur la réfection à l'identique de la charpente et de sa couverture. La toiture est en tuiles sur la partie basse, en plomb sur le lanterneau. Le pigeonnier est constitué de deux parties : une salle basse voûtée qui servait à entreposer des outils. Une salle haute pour le logement des pigeons. À l’intérieur, environ 3 500 poteries appelées boulins, maçonnées les unes au-dessus des autres, servent de nids.
Le château est classé aux Monuments Historiques en 1948. L'ensemble du domaine, le parc, les jardins à la française, le potager et le verger sont classés en 1996. Le jardin est inscrit au pré-inventaire des jardins remarquables.
Le château de Montmort (photo ci-dessous) à Montmort-Lucy.
Au Moyen Âge, l'ancienne forteresse est successivement habitée par de nombreux seigneurs.
Le premier seigneur connu par une charte des comtes de Champagne est Germond de Montmort en 1042. Elle passe ensuite dans la Famille du Faÿ, branche d'Athies, puis en 1499 dans la Famille de Hangest par le mariage de Louis de Hangest (1462/1534) et de Marie du Faÿ d'Athies.
Vers 1530, le domaine revient à leur fils aîné, Joachin de Hangest (+ 1537) qui épouse en 1525, Françoise de La Marck, puis en 1529, Isabeau de Montmorency et, enfin, Louise de Moy, veuve du Seigneur d'Offemont, de laquelle il a une fille, Jeanne de Hangest, véritable instigatrice de la reconstruction du château qui se termine en 1577. Elle épouse en secondes noces Claude d'Aguerre (1525/1559), baron de Vienne, grand maréchal de Lorraine. À l’intérieur du château, en plusieurs endroits, on retrouve un monogramme formé des lettres J et C entrelacées (Jeanne et Claude).
Leur fille, Chrétienne d'Aguerre (1553/1611) le fait passer dans la Maison de Créquy par son premier mariage en 1572 avec Antoine de Créquy de Blanchefort (+1575). Son fils Charles Ier de Créquy (1571/1638, portrait de gauche), duc de Lesdiguières, maréchal de France du roi Louis XIII (1601/1643), en est propriétaire après sa mère, puis après lui sa fille, Françoise de Créquy, épouse en 1609 Maximilien II de Béthune (1588/1634), marquis de Rosny et fils de Sully.
En 1704, Pierre Rémond de Montmort (1678/1719) en fait l'acquisition, mathématicien célèbre par son Essay d'analyse sur les jeux de hazard (1708).
Depuis, ses descendants, la Famille Crombez de Montmort, y résident.
C'est une construction en brique, surélevée, avec des toits d'ardoise, protégée par des doubles fossés, accessible par un pont à trois arches qui aboutit au pont-levis. Donnant directement sur le bourg, une poterne permet l'accès à une basse-cour entourée de remparts et de tours anciennes remaniées au XVème siècle et pour partie au XVIème siècle. La poterne, également remaniée, a perdu son toit pentu, mais a conservé deux échauguettes d'apparat. Au centre de cette basse-cour s'élève une chemise en forme de quadrilatère, sorte de rempart établi au XVIème siècle, et complété à chaque angle d'une tour en forme de bastion. L'une de ces tours-bastions comporte à l'intérieur une rampe hélicoïdale qui permettait aux cavaliers de passer de la basse-cour, en contrebas, au château lui-même, sans desseller. Au centre de ce quadrilatère, au niveau de la terrasse située 14m au-dessus de la basse-cour, s'élève une demeure de style Renaissance en briques, d'aspect médiéval. Les nombreuses ouvertures aux parements de pierre blanche atténuent l'aspect quelque peu austère de l'édifice. La porte principale, donnant sur un vestibule et l'escalier principale, est un chef-d'œuvre de la Renaissance Française, et son battant d'origine en bois ferronné a été conservé.
La grande salle est un chef-d'œuvre du XVIIème siècle. Le rez-de-chaussée comporte une série de pièces voûtées d'ogive (cuisine, salle basse).
Un pont à trois arches permet l'accès direct au parc, qui s'insinue dans les fossés avant de s'épanouir sur la terrasse. Une longue et large avenue champêtre donne sur la façade orientale du château et se continue avec le bois du domaine châtelain et celui de la Grande-Laye.
Il est classé aux Monuments Historiques en 2001.
Le château de Louvois (photo ci-dessous). Le premier château est créé au début du XIIème siècle, simple seigneurie propriété de Gaucher III de Châtillon (1162/1219), comte de Saint-Pol. Puis, les occupants se succèdent : en 1352, Eude Dazieu ; Jean IV de Château-Villain (1350/1418) puis sa fille Marie de Château-Villain qui épouse Aimé de Sarebrucks (1370/1414).
En 1440, Robert de Sarebrucks (+1440) puis Philippa de Sarebrucks, sa fille, épouse de Charles de Silly (1477/1518) ; la baronnie passe alors dans la Maison de Silly. Vers 1545, Louis de Silly recueille la succession de sa mère puis ce sont ses enfants, Antoine (1552/1609) et Catherine de Silly, qui vendent le domaine en 1576 à Claude Pinart (1540/1605), baron de Cramaille et Malines, ministre des finances de Charles IX (1550/1574) ; en 1605, son fils, Claude Pinart (+1641) lui succède, gouverneur de Château-Thierry comme son père, il fait ériger la terre de Louvois en marquisat mais les lettres patentes ne sont pas enregistrées avant 1656.
En 1640, François de Rouville, ses sœurs et Eustache III de Conflans d’Armentières (1625/1690) recueille la succession de leur aïeul maternel, Claude Pinart.
De cette période il subsiste les douves, les caves et la prison.
En 1656, le domaine est vendu à Michel Le Tellier (1603/1685, portrait de gauche), marquis de Barbezieux et secrétaire d'État à la Guerre du jeune roi Louis XIV (1638/1715), il obtient les lettres patentes confirmant l’érection des terres en marquisat.
En 1662, elles font partie de la dot de mariage de son fils François Michel Le Tellier (1641/1691, portrait de droite), marquis de Louvois, ministre de Louis XIV, avec Anne de Souvré, marquise de Courtanvaux. Coordinateur de la construction du château de Versailles après la mort de Colbert, il se fait construire un magnifique château sur des plans de Mansart et des jardins de 50 ha dessinés par Michel Le Bouteux, élève d’André Le Nôtre. Il constitue dans son domaine un équipage pour la chasse à courre.
Le château reste dans la famille jusqu'à Louis Sophie le Tellier (1740/1785), arrière-petit-fils du précédent.
À la suite de revers de fortune, le domaine devient en 1776 la propriété de Marie Adélaïde (1732/1800, portrait de gauche) et Sophie Philippine Élisabeth de France (1734/1782, portrait de droite), deux des filles du roi Louis XV. Il est alors élevé en duché-pairie.
En 1793, lors de la Révolution Française, le domaine est saisi comme Bien National.
En 1798, il est vendu à Louis Vincent Pommier, puis successivement au banquier Hainguerlot en 1799 et à Pierre Dambrun en 1805. A cette époque, il est démantelé, les pierres et le bois sont vendus. Il ne subsiste que les fondations, la grille d'entrée, l'orangerie, les fossés, le vertugadin, l'adduction d'eau et les grands bassins.
En 1812, il est acheté par l’entrepreneur Jean Joseph Davias qui le restaure en partie.
En 1826, il est la propriété de Claude Julien Provost qui le revend en 1827 au baron Pierre Charles Hémart de la Charmoye (1794/1857). Le fils de ce dernier, Pierre Elie (1826/1871) lui succède, puis Lazare Elisée né en 1855 et sa tante Marie Françoise (1865/1928), comtesse de Bengy, qui y fait réaliser un jardin paysagé.
En 1877, il est acheté par le comte Frédéric Gabriel Chandon de Briailles (1858/1918) qui lui rend son aspect XVIIIème siècle. Il passe à François puis à Frédéric.
En 1973, il est acheté par El Tajir establishment pour Zayed ben Sultan Al Nahyane (1918/2004, portrait de gauche), émir d'Abu Dhabi.
En 1983, il est la propriété de la Famille Garnier.
Depuis 1989, le château, avec ses 35 ha de jardins, est la propriété de la Maison de champagne Laurent-Perrier. Une petite partie du jardin historique a été reconstitué à partir des plans originels
Le château et le parc sont inscrits au titre des Monuments Historiques en 2005.
Et encore … Le château de Bignicourt-sur-Saulx, le château de Boursault, le château de Braux-Sainte-Cohière, le château de Lagery, le château d’Epernay, le château de Juvigny, le château de la Marquetterie à Pierry, le château de Montmirail, le château de Trosnay à Le Thoult-Trosnay …
Dans ce département, 13 villes ou villages
ont été témoin de la vie (naissances/baptêmes/unions/décès/inhumations…)
de 67 ancêtres du VIème au XIXème siècle
Le département et ses cantons (2016)
Sources
Sites et photo : Wikipedia.
Vidéo : YouTube, Jean-Marc Coquelle.
Date de dernière mise à jour : 17/11/2017