PRESENTATION DU DEPARTEMENT
Le département de l'Aisne de la région Hauts-de-France tire son nom de la rivière éponyme. Il est entouré par les départements du Nord, de la Somme, de l'Oise, de la Seine-et-Marne, de la Marne et des Ardennes, ainsi que par la Belgique.
En 1790, le découpage du département et son établissement sont confiés par Louis XVI à Jean Charles Joseph Hyacinthe de Sars, futur maire de Laon en 1800. Il est constitué de territoires issus de la Champagne (Brie, Omois), de l'Île-de-France (Laonnois, Soissonnais, Noyonnais, Valois) et de la Picardie (Thiérache, Vermandois).
Héraldique
Coupé, en 1 d’or aux trois bandes d’azur et au 2 d’azur à la bande d’argent côtoyée de deux doubles cotices potencées et contre-potencées d’or ; à la fasce ondée d’argent brochant sur la partition.
Ce blason combine les armoiries de l'ancien comté de Ponthieu en 1 avec celles de l'ancienne province de Champagne en 2. La fasce ondée représente la rivière éponyme.
Langues
Le département comprend plusieurs zones linguistiques : le Picard au Nord ; le Champenois au Sud ; le Français d'Île-de-France au centre et au Sud.
En 1835, la langue française en usage dans tout le département, à l'exception de quelques cantons reculés, était à cette époque parlé assez correctement. Quelques années auparavant, le langage des campagnes était beaucoup plus rude.
Hydrographie
L'Escaut prend sa source près du Catelet, l'Aisne, la Marne, l'Ourcq, la Vesle, la Somme prend sa source à Fonsomme, l'Oise, la Serre.
Dans le Sud du département, le Surmelin, la Verdonnelle et la Dhuys (canalisée dans l'aqueduc de la Dhuis de 131 kms pour alimenter en eau potable Paris depuis le 1er octobre 1865, ainsi que le parc de loisirs de Marne-la-Vallée en 1990).
Le département est traversé par de nombreux canaux comme le canal de Saint-Quentin (93 kms).
Le lac de l'Ailette est une retenue d’eau artificielle, alimentée par les eaux de la rivière Ailette (affluent de l’Oise), touchant les territoires de Chamouille et de Neuville-sur-Ailette. Il s'agit d'un barrage entre les vallées de la Bièvre et de l’Ailette au niveau de leur confluence. La mise en service du lac a débuté le 15 octobre 1983 et le lac a atteint son niveau maximum théorique le 5 février 1984. Il a été conçu à l’origine dans le cadre de la construction d'un parc de loisirs.
Histoire
Durant l’Antiquité, la région est habitée par les peuples gaulois des Viromanduens, des Suessions et des Rèmes.
En 57 avant J.-C., la bataille de l’Aisne marque le début de la domination romaine.
En 486, la victoire de Clovis (466/511, portrait 1 de gauche, mon ancêtre sosa n° 494 610 801 762 400 en 49ème génération) sur Syagrius (430/487) à la bataille de Soissons conduit à la disparition de la présence romaine et à l'avènement des Francs.
En 593, la bataille de Droizy voit la victoire de Frédégonde (545/597) sur les Austrasiens.
En 596, la bataille de Laffaux (Latofau) oppose le royaume de Neustrie au royaume d'Austrasie. Thibert II d'Austrasie est défait par Clotaire II de Neustrie (584/629).
En 680, victoire d'Ébroïn sur Pépin II de Herstal dit Le Jeune (640/714, portrait 1 de droite, mon ancêtre sosa n° 3 864 146 759 872 en 42ème génération).
En 687, les Austrasiens sont vainqueurs des Neustriens à Tertry près de Saint-Quentin, et assurent l’unification des royaumes francs.
En 752, Pépin III dit le Bref (715/768, portrait 2 de gauche, mon ancêtre sosa n° 966 036 689 968 en 40ème génération) se fait couronner roi à Soissons.
En 771 après la mort de Carloman Ier (751/771) à Samoussy, près de Laon, son frère Charlemagne (747/814, portrait 2 de droite, mon ancêtre sosa n° 483 018 361 096 en 39ème génération) se fait reconnaître à Corbeny comme unique monarque du royaume des Francs par une assemblée de seigneurs et plusieurs évêques.
En 833, Louis Ier dit le Pieux (778/840, portrait 3 de gauche, mon ancêtre sosa n° 241 509 172 492 en 38ème génération) est déchu de ses droits royaux à Soissons.
En 877, Charles II dit le Chauve (823/877, portrait 3 de droite, mon ancêtre sosa n° 120 754 590 274 en 37ème génération) instaure le système féodal à Quierzy-sur-Oise.
En 883, le roi Carloman II (867/884) obtient une victoire à Vailly-sur-Aisne sur les Vikings qui pillent la région.
En 1539, le roi de France François Ier (1494/1547) promulgue l'ordonnance de Villers-Cotterêts.
En 1544, un Traité de paix est signé à Crépy-en-Laonnois entre Charles de Habsbourg dit Charles Quint (1500/1558) et François Ier.
En 1567, en plein troubles religieux, Soissons est pillé par les calvinistes.
En 1594, Henri IV reprend Laon, alors occupé par la Ligue.
En 1659, la signature du Traité des Pyrénées met fin aux menaces espagnoles sur la Thiérache.
En 1790, le département est créé. Le chef-lieu en est Laon, capitale des derniers rois Carolingiens. Ce choix est précédé d'un vif débat entre les partisans de Soissons (chef-lieu de l'ancienne Généralité) parmi lesquels le jeune Louis Antoine de Saint-Just (1767/1794), et ceux de la ville de Laon qui est finalement choisie par les notables en raison de sa position centrale.
En 1814, après une courte victoire contre les Prussiens à la bataille de Craonne le 7 mars, Napoléon Ier, défait lors de la bataille de Laon les 9 et 10 mars suivants, amorce sa chute.
Pendant la Première Guerre mondiale, le département de l’Aisne est l’un des départements les plus touchés. La bataille du Chemin des Dames, appelée aussi offensive du général Nivelle au printemps 1917, reste sans doute l’une des batailles les plus importantes de cette période. Son échec est à l'origine de plusieurs foyers de rébellion, notamment autour de Soissons. C'est le début de ce qu'on appelle les mutineries de 1917, lesquelles se soldent par l'exécution d'une cinquantaine de meneurs, sur ordre de Pétain, remplaçant Nivelle.
Après l'armistice, une partie du département est classée en zone rouge et un long travail de désobusage et de reconstruction est mené. Les 26 nécropoles nationales qui accueillent près de 90 000 corps dans le département témoignent des dommages causées.
Des réfugiés des départements de l'Aisne et de la Somme, évacués par les Allemands, sont accueillis notamment dans le village belge de Ways, entre février et juin 1918.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le département est coupé en deux.
La population juive de l'Aisne, assez peu nombreuse, est déportée en deux temps : une première rafle principale le 17 juillet 1942, en même temps que la deuxième journée de la Rafle du Vél' d'hiv' organisée par la préfecture et exécutée par la police française, et au début de 1944, des rafles effectuées par la Gestapo.
La Résistance est très active dans les grands secteurs ferroviaires de Tergnier, Saint-Quentin, Château-Thierry, Laon et Hirson-Buire. Plusieurs maquis sont constitués, notamment dans la forêt de Villers-Cotterêts et celle de Wassigny.
Lors de la Libération, des villes sont confiées à l'administration de quelques chefs résistants, parmi lesquels Raymonde Fiolet (alias Roberte) à Soissons.
Patrimoine/Tourisme
En 2007, une grande infrastructure d'hébergement touristique, Center Parcs, s'est implantée sur le lac de l'Ailette.
Le tourisme fluvial concerne en partie le canal de Saint-Quentin avec son touage électrique et ses deux tunnels (Lesdins et Riqueval-Vendhuile), et en partie le canal de l'Ourcq avec Port aux Perches.
Les châteaux :
Le château de La Ferté-Milon (photo ci-dessous) est un ancien château qui ne fut jamais achevé, situé sur un éperon de la rive gauche de l'Ourcq.
Un premier château est mentionné à la Ferté-Milon dès le XIème siècle. A cette époque, la chapelle castrale est érigée en collégiale.
En 1240, le roi Louis IX (1214/1270) donne l'usufruit du domaine, centre de châtellenie de la Ferté, à sa mère Blanche de Castille (1188/1252).
Puis Charles de Valois (1270/1325, portrait de gauche) devient propriétaire du château en 1284.
En 1375, on trouve une mention d’une grande et noble forteresse à La Ferté-Milon.
En 1371, le comté de Valois est donné au second fils de Charles V dit Le Sage (1338/1380), par Louis Ier d'Orléans (1372/1407) qui entreprend la reconstruction du château en 1393 et ne garde aucune structure préexistante, le site primitif est rasé et réaménagé. Le chantier du château s'arrête avec l'assassinat du prince.
En 1412, le comte de Saint-Pol s'empare du site que les Français reprennent aux Anglais en 1429.
En 1588, Antoine de Saint-Chamant, ligueur, défend le lieu contre Henri IV (1553/1610) puis se retire en 1594. Le château est démantelé sur ordre du roi.
Il se présente sous la forme d'une grande enceinte flanquée de quatre tours en amandes du côté de l'attaque. Un chemin de ronde continue sur mâchicoulis parcourt le sommet des tours et de la courtine qui sont au même niveau. Un grand relief, représentant le couronnement de la Vierge, surmonte les restes de la porte qui s'ouvre entre les deux tours du milieu. La façade est devancée par un fossé. Sur la droite, on distingue une tour carrée dont il reste deux pans de murs.
L'accès à la ville est protégé par une ancienne porte, côté château, dont il reste deux tours en mauvais état.
Le château fait l’objet d’un classement au titre des Monuments Historiques en 1862.
Le château-fort de Château-Thierry (gravure ci-dessous vers 1600), fondé au IXème siècle par les comtes de Vermandois et remanié aux XIIème et XIIIème siècles par les comtes de Champagne, puis par Philippe le Bel au XIVème siècle et enfin par Antoine de Bourgogne à la fin du XVème siècle et au début du XVIème siècle.
Le site occupe l'extrémité d'une longue butte isolée dominant la vallée de la Marne.
Les premières traces d'occupation du promontoire remontent au IVème siècle et correspondent probablement à un castrum de l'Antiquité tardive. Cette première occupation perdure jusqu'au VIème siècle.
Au début du IXème siècle, le site ne montre toujours pas de vestiges de fortifications mais un habitat de type agro-pastoral typique de cette époque.
Dans la seconde moitié du IXème siècle, une première enceinte en bois est construite. Cette palissade de bois est dotée de tours carrées et d'une tour maîtresse en pierre, la tour Thibaud. Cette tour et ses abords constituent l'habitat seigneurial, séparé d'un espace domestique par un fossé.
A cette époque, le destin du site est entre les mains de la puissante famille carolingienne des Herbertiens. Herbert Ier de Vermandois (850/907) reçoit le pagus otmensis (l'Omois dont Château-Thierry est le chef-lieu). Cette famille est à l'origine du comté de Champagne.
Entre 1064 et 1124, des chevaliers semblent avoir le contrôle de forteresse, le dernier est Thibaud II de Blois (1090/1152), comte de Champagne.
Le château est dotée de sa première enceinte en pierre avant 1130.
La tour Thibaud est modifiée au début du XIIème siècle.
Thibaud IV de Blois (1201/1253, portrait 1 de gauche), comte de Champagne, fait faire d’importantes modifications : entre 1222 et 1236, le flanc Nord du château, les courtines et les tours sont rebâties selon les modèles de l'époque et ont une fonction strictement défensive. La ville est dotée d'une nouvelle enceinte urbaine et la ligne d'enceinte Nord du château s'intègre à son tracé ; entre 1230 et 1253, la deuxième campagnes de travaux modifie le tracé de l'enceinte du château au Sud et lui ajoute de nouvelles tours. L'accès principal au château se fait par le Sud par l'intermédiaire d'une tour-porte qui débouche sur une rampe charretière permettant d'accéder à l'esplanade du château.
En 1285, le mariage de Jeanne Ière de Navarre (1273/1305, portrait 1 de droite) avec Philippe IV dit le Bel (1268/1314, portrait 2 de gauche) marque l'entrée du comté de Champagne et donc de Château-Thierry et son château dans le domaine royal. Philippe le Bel engage d'importants travaux de réfection ou de construction sur les forteresses et châteaux de l'ensemble de son domaine.
A l’Est du promontoire, construction de la Porte Saint-Jean, sur les bases d'une ancienne tour-porte, qui devient l'accès principal au château. Le flanc Sud-Est du château est doté d'une enceinte flanquée de tours polygonales. La basse-cour du château située à l'Ouest de sa tour maîtresse, se retrouve à l'Est, réservant l'ensemble des espaces ainsi libérés à la résidence seigneuriale. Cette résidence seigneuriale devient un véritable palais doté d'équipements exceptionnels comme un complexe culinaire de près de 3000 m2.
Philippe VI de Valois (1293/1350), donne la seigneurie de Château-Thierry à Jeanne d'Evreux (1310/1370, portrait 3 de gauche), veuve de Charles IV (1294/1328). Elle la conserve jusqu'à sa mort, puis sa fille, Blanche de France (1328/1393), femme de Philippe de Valois (1336/1375), duc d'Orléans, en hérite.
En 1400, Charles VI (1368/1432) érige la seigneurie de Château-Thierry en duché-pairie dont il fait don à son frère Louis Ier d'Orléans (1372/1407, portrait 2 de droite).
La forteresse subit la Guerre de Cent Ans et quelques travaux sont réalisés : la porte Saint-Jean est renforcée d'un pont-levis et de fausses-braies, la tour-porte est modifiée et perd son rôle d'accès à la forteresse.
En 1478, Château-Thierry est donné à Antoine de Bourgogne dit le Grand Bâtard de Bourgogne (1421/1504, portrait 4 de gauche) par Louis XI (1423/1483. Il est le dernier à procéder à d'importantes modifications de l'ancienne forteresse médiévale : il crée au centre de l'esplanade un fossé sec, l'escape Nord est dotée de deux casemates qui défendent le fond du fossé, un pont dormant suivi d'un pont levis permet de franchir ce fossé. Ces ouvrages donnent sur une nouvelle porterie adossée à la tour Thibaud, qui est arasée pour être transformée en plateforme d'artillerie. Lié à ce nouvel usage un dépôt de munition et magasin à poudre est ajouté au Sud de la tour sous la forme d'un long couloir auquel on accède par une porte. Enfin, il fait fortifier le collecteur d'eaux usées situé sur la courtine Nord du château.
Dès la fin du XVIème siècle le château perd sa fonction de résidence princière, malgré les quelques séjours de Louis XIII (1601/1643) entre 1631 et 1635.
L'arrivée de Godefroi Maurice de la Tour d'Auvergne (1636/1721, portrait 3 de droite), duc de Bouillon et grand chambellan de France, en 1651 n'y change rien. Les seuls travaux connus sont des travaux d'entretien.
Le château prend le statut de Bien National à la Révolution Française et est vendu en tant que carrière de pierre en 1793.
En 1813 et 1814, les soldats de Napoléon lui donnent son aspect actuel en abaissant les murailles et en remblayant les bâtiments encore debout le long des courtines afin de transformer la forteresse en vaisseau de pierre bardé de canons. En 1813, par décret impérial, le site devient propriété de la ville.
En 1860, un parc arboré est créé.
Les ruines de l'ancien château et la butte sur laquelle elles sont situées font l’objet d’un classement au titre des Monuments Historiques en 1932.
Le château de Chevregny (photo ci-dessous) est situé sur le Chemin des Dames.
L'ancien château de Chevregny, dont il ne demeure aujourd'hui que les restes du porche monté sur deux colonnes romaines, est construit en 1716, par J. Champion, notaire, dont les descendants, tous notaires également, le conservent un demi-siècle.
Jacques Clouët, seigneur de Serville, écuyer de l'Académie Royale d’Art Equestre à Lille entre 1751 et 1775 est propriétaire du domaine dans la seconde moitié du XVIIIème siècle.
Le château est par la suite nommé le vendangeoir du cousin Jacques, surnom de Louis Abel Beffroy de Reigny dit Le Cousin Jacques (1757/1811), héritier du domaine à la fin du XVIIIème siècle. Son frère aîné, Louis Étienne Beffroy de Beauvoir (1755/1825), copropriétaire, se fait tristement remarquer durant l'épisode révolutionnaire. Son destin marque celui du château. Député à la Convention, il est considéré à la Restauration comme régicide et doit s'exiler d'urgence en 1816. Ses biens sont vendus, et le château est acquis en 1815 par Joseph de Chatonru-Boisgarnier (1774/1860), avoué fortuné de Paris qui remanie considérablement le château.
Le château reste près de deux siècles dans cette famille, faisant office de résidence secondaire. De Joseph, la propriété passe à son fils Auguste puis à sa sœur Ernestine, dont le mari, Eugène Dupont, procède à divers embellissements des bâtiments, achevant de leur donner l'aspect soigné et séduisant qu'ils conservent jusqu'en 1917.
Leur fille, Alice (1847/1924) épouse d’ Henri Cherrier (1839/1919), notaire et lettré de Paris, membre fondateur de la prestigieuse Société des Amis des Livres, présidée alors par S. M. la Reine Élisabeth de Roumanie (1843/1916) et S. A. R. Mgr. Henri d’Orléans, duc d’Aumale (1822/1897), hérite du château.
En 1917, de par sa position sur le front, il est entièrement rasé par les bombardements allemands. L'ensemble du domaine compte alors entre 250 et 300 ha.
Henri Cherrier meurt en 1919, laissant à sa postérité un héritage important bien que largement réduit par la guerre.
Son fils aîné, Gabriel Louis Marie Ernest Cherrier reprend le château et son domaine. Abandonnant les ruines, avec son épouse, Angeline Bougenot, il fait reconstruire un manoir à l'anglaise, à la mode de l'époque, en briques jaune rosé, construit sur quatre niveaux, dans le même domaine mais à plus haute altitude. L'édifice est flanqué de deux tours carrées incorporées de chaque côté du pavillon central, chacune des deux étant placée entre celui-ci et l'un des deux pavillons latéraux de la construction. Des milliers d'arbres sont replantés, et le parc est redessiné.
Gabriel lègue le château nouvellement rebâti à sa sœur, Geneviève, qui épouse Emile Jarriand (1863/1940), Leur fils Léonce Henri Gaspard Jarriand (1930/1965) en hérite à leur mort.
et encore ... le château de Villers-Cotterêts, le château de Condé à Condé-en-Brie, le château de Coucy à Coucy-le-château-Auffrique, le château d’Oigny-en-Valois, le château-fort de Guise, le château de Fère-en-Tardenois… Les donjons de Vic-sur-Aisne, d’Ambleny, de Droisy, de Septmonts …
Le patrimoine religieux :
La cathédrale Notre-Dame de Laon et la cathédrale Saint-Gervais Saint-Protais de Soissons ; la basilique de Saint-Quentin et la basilique Notre-Dame à Liesse-Notre-Dame ; l'abbaye du Tortoir de Saint-Nicolas-aux-Bois, l'abbaye Saint-Vincent de Laon, l'abbaye Notre-Dame de Longpont, les ruines de l'abbaye de Vauclair ; les églises fortifiées de Thiérarche ; l' église Saint-Ferréol d’Essômes-sur-Marne, l'église Sainte-Marguerite de Vermand, l'église Saint-Martin de Charly-sur-Marne, l’église Sainte-Benoîte de Lerzy ...
Les lieux de mémoire de la Première Guerre Mondiale (1914-1918) et de la Seconde (1939-1945). Le chemin des Dames, la caverne du dragon, les mémoriaux et cimetières.
Les nombreux musées, forêts, parcs, jardins, lacs, étangs…
Dans ce département, 52 villes ou villages
ont été témoin de la vie (naissances/baptêmes/unions/décès/inhumations…)
de 395 ancêtres du VIIIème au XXème siècle
Le département et ses cantons (2016)
Source
Sites et photo : Wikipedia
Vidéo : YouTube, Jean-Marc Coquelle
Date de dernière mise à jour : 17/11/2017