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Ceilhes-et-Rocozels

Ceilhes adm

Ceilhes-et-Rocozels est situé près de la frontière entre l'Hérault et l'Aveyron, entre Lodève et Camarès. Le village s'est construit sur la rive droite de l'Orb, entre les Monts de l'Espinouse et ceux de l'Escandorgue, au pied des Cévennes.

Armes ceilhesBlason ville fr ceilhes et rocozelsHéraldique

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
En 1696
 (à droite) : de sinople au pairle losangé d'argent et de gueules
En 1966 (à gauche) : de sinople à un pairle losangé d’argent et de gueules, accosté de deux rocs d’échiquier d’or au chef d’azur aux trois roses d’or, timbré d’un fort à trois tours d’or.

Drapeau francais fond blancHistoire

Premières mentions : on trouve Rocozels en 1031 sous le nom de Castrum Rochosellum et Ceilhes est dénommé Silias en 1101 et en 1135, puis Celianum en 1222 et en 1271, Celliis et Siliis en 1323.
Dès la période gallo-romaine, le site est exploité pour ses mines. Cette activité se poursuit par période jusqu’en 1959.
Au Moyen Age, le village se développe et le château de Bouloc est construit dans la plaine ; il est le refuge des seigneurs de Rocozels, qui connaissent une grande destinée avec la création en 1736 du duché-pairie de Fleury.
A cette époque, Ceilhes est une petite ville très active, renommée pour ses importantes foires aux bestiaux qui perdurent jusqu’au XXème siècle.
En 1696, le roi Louis XIV accorde les armoiries de Ceilhes : de sinople à un pairle losangé d’argent et de gueules.
Durant  la Révolution française, en l’an II, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée Société Populaire Républicaine.
La paroisse de Ceilhes et celle de Rocozels, qui toutes deux dépendaient du diocèse de Béziers, et non de Lodève, sont réunies en une seule commune. En 1797, le 9 vendémiaire de l’an VI, le Conseil des Cinq Cents prend une ordonnance rattachant à Ceilhes et Rocozels les hameaux de La Blaquière, et de Salvanhac qui faisaient partie de la commune de Joncels.
En 1823, M. Cathala est déclaré propriétaire du presbytère pour 123 Francs.
En 1966, le sous-préfet de Lodève approuve les nouvelles armoiries de Ceilhes-et-Rocozels : de sinople à un pairle losangé d’argent et de gueules, accosté de deux rocs d’échiquier d’or au chef d’azur aux trois roses d’or, timbré d’un fort à trois tours d’or.
Aujourd’hui, tout comme le château de Bouloc, les mines et les usines ont été noyées par le barrage d'Avène.

Le château de Bouloc-lez-Ceilhes

Le Fort de Bonlieu ou Fortiam Bonoloco  est  édifié au Moyen Age, vers la fin du Xème siècle ou au début du XIème siècle. Son existence est attestée en 1025. Il appartient aux familles seigneuriales Alban et Promillac. Il est profondément transformé aux XVIIème  et XVIIIème  siècles par les Rosset de Rocozels devenus Rosset de Rocozels de Fleury.  Au cours de la Révolution, le dernier seigneur de Bouloc,  André Hercule Marie Louis de Rosset de Rocozels (1767/1810), gagne l'étranger pour rejoindre l'armée des émigrés. Le château de Bouloc et les autres propriétés du duc sont vendues  (en vertu de l'application du décret de l'Assemblée législative en date 2 septembre 1792, confisquant les biens des émigrés) à un fabricant de draps de Lodève. Outre le château, des terres et des châtaigneraies, ce domaine comprenait aussi le moulin de Tali au Malpas détruit en 1861, le hameau de la Rode-Haute rasé en 1962-1963 lors des travaux du barrage d'Avène, le mas de Meaux, et une bergerie (voir texte ci-après).
En 1964, le château de Bouloc est rasé par la Compagnie Nationale du Bas-Rhône lors de la mise en eau du barrage d'Avène destiné à contenir les crues de l'Orb. Les piliers du portail d'honneur, érigés au XVIIIème siècle et surmontés de pots à feu, sont démontés et transférés à Montpellier, où ils ornent l'entrée du zoo de Lunaret. Une grande partie des pierres du château de Bouloc est réemployée pour la construction en 1965 du monastère orthodoxe Saint-Nicolas du hameau de la Dalmerie situé sur la commune voisine de Joncels.
A  huit kilomètres en aval le barrage d'Avène à son niveau maximum de remplissage inondait seulement les parties inférieures du château. Une simple digue de 4m de hauteur aurait permis de sauvegarder ce précieux élément du patrimoine du Languedoc. Mais il en fut décidé autrement et ce symbole de l'Ancien Régime chargé de mille ans d'histoire disparut pour laisser la place à un plan d'eau.

Seigneurs et gens de noblesse

Guillaume IV de Rocozels, 1198/1205, est évêque de Béziers.
Raymond III d'Astolphe de Rocozels, 1263/1280, est évêque de Lodève.
En 1598, mariage des grands-parents de Bernadin de Rosset. Son grand-père Rosset est un descendant des seigneurs de la Vernède, de Brignac  et de Gorgas, eux-mêmes descendants du seigneur et baron de Montpaon, originaire du Rouergue (vers 1400). Sa grand-mère est Catherine de Rocozels, héritière du titre.
Leurs descendants deviennent seigneurs de Ceilhes, Rocozels, Bouloc, La Vernède et Gorgas.
Cardinal de fleury by rigaudEn 1680, mariage de Bernardin de Rosset avec Marie de Fleury, 1661/1692, sœur du Cardinal (ministre de Louis XV), 1653/1743, il prend le nom de Fleury et devient le neveu par alliance du cardinal (ci-contre à droite). Ce dernier transforme la seigneurie de Rocozels en marquisat et celle de Ceilhes en baronnie.
Jean Hercule de Rosset, 1683/1748, nait au château de Bouloc, il est baptisé par son oncle et parrain le cardinal de Fleury. Il fait une carrière militaire.
Pons de Rosset, 1690/1763, est chevalier, puis marquis de Rocozels et baron d'Avène, gouverneur du fort de Brescou à Agde.
André Hercule de Rosset, 1715/1788, marquis de Rocozels, duc de Fleury, baron de Ceilhes, premier gentilhomme de la Chambre du roi Louis XV, pair de France, maréchal de camp, lieutenant général des armées royales et gouverneur général de Lorraine, gouverneur et viguier d'Aigues-Mortes, assesseur civil et criminel du baillage royal de Nancy, épouse en 1736 Anne Madeleine Françoise, duchesse de Fleury D'Auxy, dame du Palais de la Reine.
Pierre Augustin Bernardin de Rosset, 1717/1780, évêque de Chartres  de 1747 à 1780 est premier aumônier de Marie Leszczy?ska et grand-aumônier de Marie Antoinette.
Henri Marie Bernardin de Rosset, 1718/1781, est archevêque de Tours de 1751 à 1774, puis archevêque duc de Cambrai de 1774 à 1781.
En 1780, André Hercule Alexandre de Rosset, 1750/1782, marquis et duc de Fleury, petit-fils de Bernardin de Rosset, est major général de l’armée de l’Inde et meurt en service.
Coigny aimeeLauzun 1En 1785, mariage d’André Hercule Marie Louis de Rosset de Rocozels de Fleury, 1767/1810, dernier duc et pair de Fleury avec  Anne Françoise Aimée de Franquetot de Coigny, 1769/1820 (ci-contre à gauche), duchesse de Fleury, femme de lettres, (éduquée par Madame de Guéménée, gouvernante des enfants de Louis XVI). Elle est la maitresse du duc de Lauzun (ci-contre à droite) et amie très proche de la reine Marie Antoinette, de ce fait elle est  emprisonnée sous la Terreur et est sauvée de justesse de l'échafaud par la chute de Robespierre.
En 1815, André Hercule de Rosset, duc de Fleury, arrière petit-fils de Bernadin de Rosset, est premier gentilhomme de la chambre du roi, pair de France. Il meurt à Paris sans enfant, le 6 janvier.

Patrimoine

L'église Saint Jacques de Rocozels   est l'ancienne chapelle du château médiéval aujourd'hui disparu de la famille féodale des Rocozels. C'est une église romane dont le porche date du XIIème siècle. Le clocher, le voûtement du chœur et de la nef sont du XIIIème siècle. Elle a été transformée au début du XVIIIème siècle, comme l'atteste la date de 1709 gravée au-dessus de la porte d'entrée où figure également le blason aux armes des Rocozels. Les deux chapiteaux ornés sur chaque face d'une palmette et sur chaque angle d'un fleuron, proviennent de la chapelle wisigothe disparue de Notre-Dame-des-Ubertes. L'église a fait l'objet d'un classement aux Monuments historiques en 1986.

L'église Saint Jean Baptiste de Ceilhes, remarquable mélange d’architecture romane et gothique, est classée comme église fortifiée, c’est l’une des plus imposante de la région. La plus ancienne mention connue de l'église remonte à 1135 dans une bulle du Pape Innocent II énumérant les possessions de l'abbaye bénédictine Saint-Pierre de Joncels.
La construction des différentes parties constituantes (ouvrage fortifié, maison) ont été réalisées à plusieurs époques différentes : première moitié du XIIème siècle pour le narthex qui est l'entrée de l'église (pièce intermédiaire avant d'accéder à la nef), au premier quart du XIVème siècle pour le chœur, les chapelles latérales et le portail Nord, au dernier quart du XIVème siècle pour la fortification du chœur.  Les vitraux axiaux coté Est datent de cette époque. 
Le gros-œuvre a été réalisé en grès, en pierre de taille, avec un enduit partiel. Les toits sont en tuiles creuses et ardoise. L'église se présente sur un plan allongé, sous la forme d'un vaisseau.
L’édifice massif et austère est dépourvu d’éléments de décors. La façade Sud est cantonnée d’épais contreforts (encoules) sans ouvertures.  Le clocher du XIIème a été surélevé au XIVème siècle, il est percé de baies géminées à arcs plein cintre. Il comporte aujourd’hui quatre cloches dont deux datent de 2000.
Des peintures murales antérieures à la Révolution y ont été découvertes vers 1950.

Le cimetière ancien. La porte des Morts de l’église y menait jusqu’au XIXème siècle. Il est situé sous l’actuelle place de l’église.

La Ferme du bâtiment, ancienne bergerie du château est située au Saut des Cappelos. Elle est mentionnée dans les reconnaissances féodales de 1489 et 1567. La structure architecturale de cette bergerie est typique des constructions des vallées caussenardes. Les murs porteurs d'une largeur de plus d'un mètre à la base et les fenestrous lui donnent une allure défensive. Construite vraisemblablement à la fin du Moyen Age, cette bergerie était aussi destinée à protéger des pillards les bêtes et les récoltes des seigneurs de Bouloc. Une voûte en plein-cintre en forme d'un long tunnel isole du troupeau l'étage d'habitation auquel on accède par un escalier extérieur menant à un vaste balet (perron) couvert du XVIIIème siècle. La toiture à longs pans repose sur des voûtes en berceau. Cette ancienne bergerie qui possède également une cave à fromage (pour le roquefort), a été répertoriée au Patrimoine de France en 1986 tout comme près d'une vingtaine de maisons du village.

Les remparts datent du Moyen Age. Ils ont été construits après la première phase de la Guerre de Cent ans. La région est mêlée à des troubles interminables, les cités sont mises en état de défense. Les fortifications  englobent l’église Saint Jean Baptiste  qui voit alors ses parties Est et Sud fortifiées. Ils subissent des réparations en 1621 (date inscrite sur une pierre en réemploi) après la prise de Ceilhes par les troupes du  duc de Joyeuse en 1586. En raison de son importance pour le service du roi,  le renforcement du lieu à lieu en 1621, 1622 et 1629. Il subsiste quelques vestiges visibles.

La porte d’entrée de l’enceinte fortifiée  en arc brisé d’architecture gothique est une des principales. En 1622, les protestants viennent déposer trois pétards au portail et l'enfoncent. Ils sont chassés par la garnison qui séjourne dans le village.

Le passage de la Cagarotte permet l'accès à la rue de la Cagarotte. L’architecture de la maison surplombant l’accès Nord est typiquement du XVIIème siècle (bandeau). L’accès Est est marqué par une colonne qui témoigne de la présence d'une grande famille de Ceilhes dans la maison qui s'y accole ; l'architecture y est très riche et imprégnée de cette bourgeoisie commerçante du XVIIème siècle (très bel escalier en colimaçon et ballustrade, colonne extérieure et porte d'entrée).

La place du Griffoul (fontaine ou source jaillissante en occitan) est la fontaine du village, principal point d’eau au centre du village jusqu’à l’arrivée de l’eau courante en 1925. On pense qu'elle date du XVIIIème siècle. Son bassin est une ancienne cuve baptismale.

Le pont roman en amont du village, de style roman, vraisemblablement construit au XIVème siècle, il franchit le cours de l'Orb. Constitué de trois arches séparées par des avant-becs triangulaires, il permet d'aller à Joncels depuis Ceilhes par la route départementale D8. À proximité se trouve un ancien moulin avec une belle fenêtre à meneau.

L’ancienne halle aux grains date du XVème siècle. Elle est située à proximité de la fontaine du Griffoul et a été répertoriée au Patrimoine de France en 1986. Elle est reconvertie en auberge au début du XXème siècle.

L’auberge relais de Ceilhes, niché au cœur des forêts domaniales des Monts d’Orb, est un ancien relais de diligences géré par la même famille depuis 1850.

Le Tautàs (en occitan un petit lac d'eau boueuse) est un plan d'eau artificiel creusé en 1963, érigée au milieu de la plaine. La digue qui l'entoure permet la circulation.

Personnages liés à la commune

Abbe tarrouxAbbé Antoine Tarroux, 1793/1877 (ci-contre à gauche), est un prêtre catholique français, qui fonde en  1853, à Olargues, la Congrégation des Sœurs minimes de la Doctrine chrétienne. Leur mission est l'enseignement et le soin des malades sous le patronage de Saint-François-Xavier et de Saint-Antoine l'Ermite. Fâché avec la municipalité anti-cléricale d'Olargues, en 1856, il installe sa congrégation à Ceilhes, dans un bâtiment  laissé vacant par le départ de la gendarmerie à Lunas (actuel bureau de poste). En 1870 la congrégation comptait 45 sœurs établies dans différents lieux du département de l'Hérault, elle est supprimée le 14 août 1903 par la loi du 1er juillet 1901.Livre bonami

Charles Bonami, 1908/1987, historien français né à Ceilhes-et-Rocozels, il entame une carrière aux PTT, puis devient après la Seconde Guerre mondiale membre du Conseil Central de la RTF. Il prend sa retraite en 1968 et se consacre avec minutie et passion à l'étude de l'histoire de son village natal. On lui doit plusieurs articles traitant des anciennes familles seigneuriales. Chevalier du Mérite postal, il est aussi Officier de la Légion d'honneur.

Hameaux, lieux dits et écarts

Rocozels, Notre-Dame de Pitié, la Blaquière, Salvagnac, Les Gandials, La Baraque, La Gardiole,  La Vialette, Mas de Meaux, Mas de Gauffre…

Evolution de la population

Ceilhes demo

Nos ancêtres de Ceilhes-et-Rocozels…

Naissances/baptêmes :

CREBASSA Jean (sosa 3208G12) vers 1616.
CREBASSA Jacques (sosa 1604G11) le 19 novembre 1662.
CREBASSA Jean (802G10) le 14 juin 1691.
CREBASSA Marie (sosa 401G9) le 11 décembre 1735.
GALABRUN(E) Françoise (sosa 3209G12) le 26 novembre 1630.
ROUVIERE Jean (sosa 6404G13) vers 1630 au hameau de La Gardiole.
ROUVIERE Mathieu (sosa 3202G12) vers 1660 au hameau du Mas Neuf.
BIOU Marie Anne (sosa 803G10) le 26 janvier 1697, elle est baptisée le 29 janvier 1697.
CHIBAUDEL Marie (sosa 1607G11) le 14 mai 1675, elle est baptisée le 21 mai 1675.
RICARD Grégoire (sosa 3210G12) le 26 octobre 1640, il est baptisé le lendemain.

Unions/Contrats de mariage :

BROUSSOU Fulcrand (sosa 794G10) avec FADAT Marie Antoinette (sosa 795G10) le 24 mars 1721.
CREBASSA Jean (sosa 3208G12) premier mariage avec SADDE Anne (hs) à une date inconnue, second mariage avec avec BOUBALLE Jeanne (hs) le 6 mai 1680,  troisième mariage avec GALABRUN(E) Françoise (sosa 3209G12) à une date inconnue.
CREBASSA Jean (sosa 802G10) avec BIOU Marie Anne (sosa 803G10) le 3 octobre 1718.
CREBASSA Jacques (sosa 1604G11) contrat de mariage le 22 janvier 1690 et mariage le 6 février 1690 avec RICARD Jeanne (sosa 1605G11).
GELY Guillaume (sosa 3170G12) contrat de mariage avec Marie NOUGARET (sosa 3171G12) le 5 décembre 1669.
GUIRAUDON Jacques (sosa 1600G11) contrat de mariage et mariage le 17 janvier 1702 avec ROUVIERE Marie  (sosa 1601G11).
GUIRAUDON Jean (sosa 800G10) contrat de mariage pardevant Maître Jacques Mourèze, avec ANINAT Catherine (sosa 801G10) le 30 avril 1727.
GUIRAUDON Barthélémy (sosa 400G9) accord de mariage le 20 septembre 1759, contrat de mariage le 2 octobre 1759 et mariage le 23 octobre 1759 à l’église de Rocozels avec CREBASSA Marie (sosa 401G9).
LAURES Guillaume (sosa 792G10) avec VERDEIL Marie (sosa 793G10) le 7 mai 1725.
ROUVIERE Mathieu (sosa 3202G12) contrat de mariage et mariage le 18 novembre 1683 avec CROS Antoinette (sosa 3203G12).
BIOU Maurice (sosa 1606G11) contrat de mariage le 25 février 1696 et mariage le 30 avril 1696 avec CHIBAUDEL Marie (sosa 1607G11).
RICARD Grégoire (sosa 3210G12) contrat de mariage le 16 novembre 1670 et mariage le 7 janvier 1671 avec VIALLES Marguerite (sosa 3211G12) .

Décès/inhumations :

CREBASSA Jean (sosa 3208G12) le 13 août 1696. Il était veuf de Françoise GALABRUN(E) (sosa 3209G12).
CREBASSA Jean (sosa 802G10), veuf de BIOU Marie Anne (sosa 803G10), le 10 février 1761, inhumé le lendemain. Il était brassier de terre à Rocozels.
CREBASSA Jacques (sosa 1604G11), époux de RICARD Jeanne (sosa 1605G11), le 18 janvier 1745, inhumé le même jour.
BARASCUDE Jeanne (sosa 6421G13), veuve de RICARD Jean (sosa 6420G13), le 12 janvier 1684, inhumée le lendemain.
BIOU Marie Anne (sosa 803G10), épouse CREBASSA Jean (sosa 802G10), le 30 avril 1759, inhumée le lendemain.
BIOU Maurice (sosa 1606G11), veuf de CHIBAUDEL Marie (sosa 1607G11) le 15 août 1735, inhumé le lendemain.
CHIBAUDEL Marie (sosa 1607G11), épouse de BIOU Maurice (sosa 1606G11) le 30 janvier 1725, inhumée le lendemain.
CHIBAUDEL Pierre (sosa 3214G12), veuf de RICARD Isabeau (sosa 3215G12) le 29 novembre 1697, inhumé le lendemain. Il était laboureur à Rocozels.
GALABRUNE Françoise (sosa 3209G12), épouse de CREBASSA Jean (sosa 3208G12), le 4 février 1693, inhumée le lendemain.
RICARD Grégoire (sosa 3210G12), époux de VIALLES Marguerite (sosa 3211G12) le 11 octobre 1711, inhumé le lendemain.
RICARD Isabeau (sosa 3215G12), épouse de CHIBAUDEL Pierre (sosa 3214G12), le 21 janvier 1693, inhumée le lendemain.
RICARD Jean (sosa 6420G13), époux de BARASCUDE Jeanne (sosa 6421G13), le 4 janvier 1676, inhumé le lendemain.

Testaments :

GUIRAUDON Jacques (sosa 1600G11), époux de ROUVIERE Marie (sosa 1601G11), testament le 18 janvier 1705.
BIOU Maurice (sosa 1606G11), veuf de CHIBAUDEL Marie (sosa 1607G11), testament le 10 février 1725.
CHIBAUDEL Marie (sosa 1607G11), épouse de BIOU Maurice (sosa 1606G11), testament le 27 janvier 1725.
CREBASSA Jean (sosa 802G10), époux de BIOU Marie Anne (sosa 803G10), testament le 21 janvier 1761.

Domiciles :

CREBASSA Jean (sosa 802G10) à Rocozels, en 1759 au moment du décès de son épouse et en 1761 il est privé de la vue et vit avec son fils ainé.

Autres actes notariés divers (quittances, bail...) :

BIOU Maurice (sosa 1606G11) bail le 5 mai 1724 au profit de son fils Pierre (sosa 3214G12).
CHIBAUDEL Pierre (sosa 3214G12) quittances les 25 janvier 1671 et 29 août 1671.

 

Note : Tous les actes notariés sont établis pardevant Maître Jacques Mourèze, notaire royal et apostolique (qui succède à son père).

 


 

Sources
Sites et photo :
Wikipedia, Mairie de Ceilhes, Ceilhes.

 

 

Date de dernière mise à jour : 03/06/2016