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PRESENTATION DU DEPARTEMENT

 

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Le département de la Côte d’Or est créé à partir de l’ancienne province de Bourgogne en 1790 et divisé en 7 districts : Arnay-le-Duc, Beaune, Châtillon-sur-Seine, Dijon, Is-sur-Tille, Saint-Jean-de-Losne et Semur-en-Auxois. En 1800, les 7 districts sont transformés en 4 arrondissements : Dijon, Beaune, Châtillon-sur-Seine et Semur-en-Auxois. En 1926, les arrondissements de Châtillon-sur-Seine et Semur-en-Auxois sont supprimés au bénéfice de Montbard.Cote d or carte
Il est limitrophe des départements de l'Yonne, de la Nièvre, de Saône-et-Loire, du Jura, de la Haute-Saône, de l'Aube et de la Haute-Marne.
Il est divisé en quatre grands ensembles topographiques : le Morvan au Sud-Ouest, les plateaux de Langres-Châtillonnais dans la moitié Nord-Ouest, la plaine de la Saône au Sud-Est et l'Auxois au Centre-Ouest.
Le point culminant du département, 723m au Mont de Gien, se situe dans le Morvan. Le point le plus bas 174m se trouve à la sortie de la Saône sur la commune de Chivres.

Blason departement fr cote d or svg

 

Héraldique
Coupé, au premier parti, en I : d'azur semé de fleurs de lys d'or à la bordure componée de gueules et d'argent ; en II : bandé de six pièces d'azur et d'or à la bordure de gueules ; au deuxième d'or plain.

 

Hydrographie
La Côte-d'Or se situe sur le seuil de Bourgogne, partageant les bassins versants de la Seine, du Rhône, de la Saône et de la Loire. Le point de jonction des trois bassins versants se situe sur la commune de Meilly-sur-Rouvres. Sur le département coulent des affluents de chaque fleuve, notamment : l'Armançon, le Serein, l'Ource et l'Aube qui coulent vers la Seine, qui elle-même prend sa source dans le département, sur le plateau de Langres à Source-Seine ; l'Arroux qui prend sa source dans le Sud du département traversant Arnay-le-Duc et qui rejoint la Loire par la suite ; la Saône, principal affluent du Rhône, qui traverse une bonne partie de l'Est du département, entre autres Pontailler-sur-Saône, Auxonne, Saint-Jean-de-Losne et Seurre. Ses affluents sont la Vingeanne, la Tille, la Bèze et l'Ouche, qui traverse Dijon.

Histoire de la Bourgogne
Le territoire de l'actuelle Bourgogne est occupé, du Hallstatt (voir Echelle des Temps) jusqu'à la Gaule romaine, par une grande diversité de peuples Celtes : les Sénons, les Lingons, les Éduens, les Séquanes.
La Bourgogne est traversée par la Via Agrippa, voie romaine qui part de Lyon et sillonne les pays éduen, sénon et lingon, réunissant les villes d'Anse, Mâcon, Tournus, Chalon, Dijon et Langres. Elle bénéficie de nombreuses voies navigables, dont la Saône est l'axe principal. Grâce à ces voies de communication, la Bourgogne est le point de passage obligé par lequel voyagent vin, produits agricoles, étain, métaux et huile. La densité des échanges assure la prospérité du pays. La vigne s'est installée sur la côte bourguignonne.
Le premier royaume portant le nom de Bourgogne (royaume de Burgondie) à partir de la seconde moitié du Vème siècle, est l'œuvre des Burgondes. Vaincu par les Francs vers 534, ce peuple laisse en héritage un ensemble territorial qui perpétue son nom.
Tour à tour, pendant 10 siècles, au milieu de luttes continuelles, les familles régnantes de l'histoire (Mérovingiens, Carolingiens, Capétiens, Valois, Bourbons) effacent et redessinent les frontières et le statut politique de ce territoire.
Philippe ii de bourgogne dit le hardiJean ier de bourgogne dit sans peurLa Bourgogne du Moyen-âge voit naître avec les abbayes de Cluny (Saône-et-Loire) et de Cîteaux (Côte d’Or) les plus grands mouvements de la réforme monastique. Les deux célèbres abbayes sont pendant plusieurs siècles tout à la fois des foyers de science dogmatique, de pensée réformatrice, des centres d'activité économique et sociale, artistiques et même politiques de premier ordre pour toute l'Europe. Des édifices comme la basilique de Vézelay (Yonne) et l'abbaye de Fontenay (Côte d’Or, voir § Tourisme et patrimoine) témoignent encore de ce rayonnement.
Quelques siècles plus tard, l'entreprise des ducs de Valois marque profondément son histoire.Charles le temeraire Philippe iii de bourgogne dit le bonPhilippe II de Bourgogne dit le Hardi (1342/1404, portrait 1 de gauche), Jean Ier de Bourgogne dit sans Peur (1371/1419, portrait 1 de droite), Philippe III de Bourgogne dit le Bon (1396/1467, portrait 2 de gauche) et Charles de Valois-Bourgogne dit le Téméraire (1433/1477, portrait 2 de droite) font de leur État une grande puissance européenne qui englobe la Belgique et la Hollande actuelles et qui devient la rivale du royaume de France.
Philippe le Bon, fondateur de l'ordre de la Toison d'or, fait rayonner sa cour et étend sa renommée jusqu'en Orient. Son fils, Charles le Téméraire, mate les révoltes de Gand en Flandre et de Liège. Il élève à son apogée l'État bourguignon, mais sa mort à la bataille de Nancy en 1477 fait rentrer définitivement Louis xi le prudent 1423 1483Marie de bourgognela partie proprement bourguignonne du duché dans le domaine de la couronne.
Cependant, la fille de Charles, Marie de Bourgogne (1457/1482, portrait 3 de gauche) sauve son pouvoir sur les États du Nord, donnant naissance à une descendance qui aboutit à Charles de Habsbourg dit Charles Quint (1500/1558), né à Gand, qui ne cesse de revendiquer la Bourgogne, source de conflits incessants avec la monarchie française.
Devenue royale sous Louis XI dit le Prudent (1423/1483, portrait 3 de droite), la partie française de la Bourgogne garde ses États et son Parlement, préservant ainsi son individualité jusqu'à la Révolution française.

Tourisme/Patrimoine
La Côte-d'Or dispose d’un patrimoine culturel non négligeable.

Des villes :
Dijon est classée Ville d’Art et d’Histoire (voir page « Dijon »).Georges louis leclerc duc de buffon

Montbard est la ville natale du naturaliste Georges Louis Leclerc, comte de Buffon (1707/1788, portrait ci-contre), traversée par le canal de Bourgogne. Ce site est occupé dès l'Antiquité. Au temps des Gaulois, Montbard abrite une communauté de druides. Au Moyen Âge, c’est une ville importante autour du château de Montbard du Xème siècle. En 1070, sainte Alèthe de Montbard, mère de Bernard de Clairvaux, y naît. En juillet 1813, Jean Andoche Junot, duc d'Abrantès, général et ami de l'empereur Napoléon Ier, y meurt à demi-fou, dans la maison de son père.

Semur-en-Auxois, cité médiévale dont la légende raconte qu’elle a été bâtie par Hercule lors de son retour d'Espagne.

Flavigny-sur-Ozerain, village médiéval, le vieux bourg est classé parmi les plus beaux villages de France. C’est le lieu de fabrication des Anis de Flavigny (dragées contenant en leur cœur une graine d'anis).

Auxonne et son patrimoine militaire : le château bâti sous Louis XI, seul des trois châteaux avec Beaune et Dijon, encore debout ; les fortifications mentionnées dès 1229 dans une charte ; la porte de Condé, à l’Est de la ville, datant du règne de Louis XII ; la porte Royale, au Nord de la ville, datant  du XVIIème siècle ; la tour du Belvoir, une des 3 tours subsistantes des 23 de l’enceinte.

Le site du siège d’Alésia, bataille décisive de la Guerre des Gaules qui voit la défaite d'une coalition de peuples gaulois menée par Vercingétorix face à l'armée romaine de Jules César en avant J.-C.
Selon le consensus scientifique et à la suite des fouilles engagées à l'initiative de Napoléon III, puis dans les années 1990 par une équipe franco-allemande, c’est à Alise-Sainte-Reine qu'est situé ce site.

Un patrimoine religieux :
Les Hospices de Beaune
(photo ci-dessous) de style gothique flamboyant avec toiture en tuile vernissée de Bourgogne, fondé au XVème siècle par le chancelier des ducs de Bourgogne, Nicolas Rolin et son épouse Guigone de Salins, à Beaune.
Il est un des édifices les plus célèbres du monde, tant par sa fastueuse et remarquable architecture traditionnelle bourguignonne que par son prestigieux domaine viticole bourguignon dont la production est historiquement vendue aux enchères pour financer son fonctionnement, sous le nom de Vente des Hospices de Beaune.
Actifs jusque dans les années 1960, ils sont classés aux Monuments Historiques

Beaune cote d or les hospices

L'abbaye de Fontenay (voir vidéo en bas de page)  aujourd'hui désaffectée, fondée en 1118 sur la commune de Marmagne, est située à la confluence de la combe Saint-Bernard et de la vallée du ruisseau de Fontenay. C’est la plus ancienne abbaye cistercienne conservée, caractéristique par son dépouillement dans l'ornementation. Elle est classée au titre des Monuments Historiques en 1862, et inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1981.

L’église romane Saint-Vorles à Châtillon-sur-Seine (photo ci-dessous), construite dans un pur style roman, sous l'impulsion de Brun de Roucy, évêque de Langres de 980 à 1016, dans l'enceinte d'un castrum.
L’église primitive abritait depuis 868 les reliques de saint Vorles.
Sa façade extérieure est ornée de bandes caractéristiques de l'art lombard.
Le chœur avec abside est entouré de deux petites chapelles, la chapelle Sainte Thérèse du XIVème siècle et la chapelle du Carmel du XVème siècle. La chapelle Saint Bernard et la chapelle du Rosaire sont construites dans le premier quart du XVIIème siècle.
Le clocher situé à la croisée du transept est reconstruit au XIIème siècle alors qu’est construit le château des ducs de Bourgogne, sur la même colline.  Un cimetière existe au moins depuis le XIXème siècle au milieu des ruines. Tout d'abord collégiale, l'église est paroissiale jusqu'en 1807. On n'y célèbre plus aujourd'hui de cérémonie régulière mais elle est ouverte pour des baptêmes et mariages.
Elle est classée aux Monuments Historiques en 1909.

Chatillon sur seine cote d or l eglise saint vorles

La tombe de Vix, sépulture à char princière, attribuée pour la période du Hallstatt final (fin du VIème siècle avant J.-C.), territoire antérieurement occupé par le peuple gaulois des Lingons.
Elle est découverte intacte en 1953. En raison de l'importance et de la qualité de son mobilier, elle est considérée comme une découverte de tout premier ordre pour cette période de la civilisation celtique.
Les restes du squelette, allongé dans la caisse d'un char de parade à timon avec quatre roues décoré d'appliques en bronze, ont permis d'identifier le corps d'une femme d'une trentaine d'années. De nombreux bijoux, bracelets, torques (diadème) d’or pur, fibules en bronze parent la défunte. En raison de sa richesse, le mobilier accompagnant les restes de la défunte, a été dénommé Trésor de Vix.
La pièce principale (photo ci-dessous), un gigantesque vase (cratère) de bronze, vraisemblablement sorti des ateliers grecs d'Italie du Sud vers 540-530 avant J.-C., possède des dimensions exceptionnelles : 1,64 m de haut pour un poids de 208 kgs et une capacité de 1 100 litres. Sa décoration d'appliques de bronze en haut relief, des anses en forme de gorgones et frise de chevaux et hoplites, en font un chef-d'œuvre dans l'art du bronze antique.
Ce trésor est exposé au Musée du Pays Châtillonnais à Châtillon-sur-Seine.
Le site et la sépulture princière font l’objet d'inscriptions au titre des Monuments Historiques en 2006 et 2011.

Vix le vase

Des châteaux :
Le château de Bussy-Rabutin
(photo ci-dessous).
A l’origine une maison forte construite Au XIIème siècle pour le seigneur Renaudin de Bussy au village de Bussy-le-Grand dans un vallon boisé de l'Auxois à quelques km d'Alésia/Alise-Sainte-Reine, de l'abbaye de Fontenay et du château de Montbard.
Il est reconstruit au XIVème siècle en château d'habitation puis remanié sous les rois Henri II et Louis XIII.
Son plus célèbre propriétaire est le comte de Bussy, Roger de Bussy-Rabutin (1618/1693), général des armées royales du roi Louis XIV, courtisan de la cour de France, philosophe et écrivain épistolaire, pamphlétaire, satirique et libertin et membre de l'Académie française.
En 1659, le comte de Bussy-Rabutin prend part à une orgie dans son château de Roissy, où il médit outrageusement et scandaleusement sur les mœurs de la cour, sur le roi et sur la famille royale. Il est alors condamné, à un premier exil de la Cour de France par le jeune roi Louis XIV, dans le château familial de Bussy. En 1660 incorrigible, il écrit, sans vouloir le publier, son pamphlet satirique et calomnieux Histoire amoureuse des Gaules, mais l'intrigante marquise de la Baume fait secrètement copier l’œuvre, puis répandre sa publication en avril 1665 à Liège, à l'insu de l'auteur.
L'œuvre scandaleuse parvient à la cour et au jeune roi qui fait arrêter l'auteur en 1666, le destitue de toutes ses charges et le fait enfermer 13 mois à la Bastille (alors qu'il vient juste d'être élu à l'Académie Française) avant de le faire exiler et disgracier à vie, pour la seconde fois, dans son château en Bourgogne. Il y rédige ses mémoires, produit une très importante correspondance par lettres avec ses amis et notamment avec sa cousine Madame de Sévigné, avec laquelle il partage le plaisir de l'écriture. En 1683 le souverain lui pardonne.
En 1835 le comte Jean Baptiste César de Sarcus (1787/1875) achète le château qu'il fait classer Monument Historique en 1862. Il entreprend sa restauration en préservant la riche et originale décoration intérieure,  œuvre intégrale de Roger de Bussy-Rabutin.
En 1929 le château est acheté par l'État.

Bussy le grand cote d or le chateau de bussy rabutin

La forteresse de Châteauneuf-en-Auxois (photo ci-dessous), d’architecture militaire bourguignonne du XVème siècle, garde l’extrémité Sud de l'Auxois. Ce vaste vaisseau de pierre bâti sur un éperon rocheux situé à 475m d’altitude, domine la vallée du canal de Bourgogne et est situé à 43 kms de Dijon, à proximité de Pouilly-en-Auxois.
A l’origine, un château est construit en 1132 par Jean de Chaudenay pour son fils cadet Jehan qui en prend possession en 1175 et devient Jean Ier de Châteauneuf. Face aux menaces de la Guerre de Cent Ans, les seigneurs de Châteauneuf bâtissent une puissante enceinte avec 5 tours reliées par des courtines, autour du donjon du XIIème siècle. Le règne de la famille s’achève après 9 générations avec une fin tragique en 1456 lorsque Catherine de Châteauneuf, dernière héritière, est brulée vive pour l’empoisonnement de son second mari, Jacques d’Haussonville.
En 1457, Philippe III dit le Bon, duc de Bourgogne, attribue alors la forteresse à son conseiller Philippe Pot, chevalier de l’Ordre de la Toison d'or et de Saint-Michel. Celui-ci modifie  l’aménagement du château pour en faire une demeure plus confortable correspondant davantage avec les fastes de la cour des ducs de Bourgogne. Une chapelle et les logis réalisés en gothique flamboyant, dans la cour du château, datent de cette époque. On peut retrouver à de multiples endroits la devise de Philippe Pot, Tant L Valt.
À sa mort en 1493, sans descendance, le château revient à son frère Guy Pot, puis par l’intermédiaire de différentes alliances, à Marie Liesse de Luxembourg.
À l’entrée au couvent de cette dernière, le château passe à Charles de Vienne, comte de Commarin, et reste dans cette famille pendant 150 ans.
En 1767, Louis Henri de Vienne le vend à un riche banquier.
Lors de la Révolution Française, tous les symboles royaux et armoiries sont dégradés ou détruits. Le château est vendu aux enchères et passe ensuite de mains en mains jusqu’en 1936 quand le comte Georges de Vogüé donne la forteresse à l’État et que Châteauneuf et son village sont déclarés site protégé.
Il est classé aux Monuments Historiques en 1894.

Chateauneuf en auxois cote d or le chateau

Le château de Montfort (photo ci-dessous) est construit sur un plateau rocheux à 317m d'altitude et domine les trois vallées du Dandarge, de la Ronce et de la Louère.
Un premier château est construit par Bernard de Montfort, proche des ducs de Bourgogne, vers 1075. Il est constitué de 7 tours dont 3 semi-octogonales donnant sur une vaste basse-cour, ceinte de remparts et de tours semi-circulaires ouvertes à la gorge. Un profond fossé, un pont-levis et une cour intérieure pavée entourée de vastes bâtiments nobles : salle des gardes voûtée, salle seigneuriale, chapelle, appartements, caves…
Vers 1289, il est reconstruit par Géraud de Maulmont, chanoine et archidiacre de Limoges, conseiller du roi de France Philippe IV le Bel.
Par mariages et successions, le château revient en dot à Jeanne de Vergy qui épouse en 1340 Geoffroy Ier de Charny. Leur petite fille Marguerite épouse en 1400 Jean de Bauffremont qui décède à la bataille d’Azincourt en 1415. Son neveu, Pierre de Bauffremont, hérite du château. Sa petite-fille, Philiberte, épouse Jean IV de Chalon (1443/1502), prince d'Orange. Après la mort de ce dernier, son fils, Philibert, refuse de rendre hommage au roi de France pour sa principauté et se met au service de Charles Quint. Le château est mis sous séquestre par François Ier à partir de 1521.
Rene de chalonGuillaume d orange nassauEn 1530, René de Chalon (1519/1544, portrait de gauche) hérite des biens de son oncle, Philibert, biens qu’il lègue à son cousin, Guillaume Ier d'Orange-Nassau (1533/1584, portrait de droite).
En 1547, ce dernier obtient la levée des séquestres sur le château. Sa fille, Emélia d'Orange-Nassau (1581/1657), après une succession difficile avec ses sœurs, obtient le château où elle entreprend d’importants travaux de réhabilitations.
En 1688, ses petites filles vendent le château à François Michel Le Tellier, marquis de Louvois, secrétaire d'état à la guerre du roi Louis XIV. En 1691, son fils Louis François Marie Le Tellier, marquis de Barbezieux, lui succède. Puis en 1701, sa fille Marie Magdeleine, épouse du duc d'Harcourt, hérite du château et des terres de Montfort.
En 1731, le duc et la duchesse d'Harcourt revendent la baronnie à Frédéric de La Forest.
En 1817, une descendante de la famille de La Forest cède le château à Jean Baptiste Lefaivre, ancien domestique au château. Dès lors, seules les terres du domaine sont exploitées, le château tombe en ruines dans l’indifférence totale.
En 1985, les ruines sont rachetées par Jean Marie Fériès et son épouse, qui entreprennent leurs réhabilitations.
En 1996, l’association Mons Forti prend la relève.

Montfort cote d or le chateauMontfort cote d or le chateau maquette

Les paysages variés de la Côte d’Or :
Le Morvan avec le Panorama de Savilly ;
La Route des Grands Crus de Dijon à Santenay ;
Le canal de Bourgogne et son tunnel à Pouilly-en-Auxois ;
Les sources de la Seine et son temple dédié à Sequana à Source-Seine ;
Le cirque du Bout du Monde près de Beaune ;
Les forêts du Châtillonnais.

 

Dans ce département, 5 villes ou villages

ont été témoin de la vie  (naissances/baptêmes/unions/décès…) 

de 7 ancêtres du VIème au XIIème siècle

 

Cote d or cantons

Le département et ses cantons (2015)

 

 

 

 


 

Sources
Sites et photo : Wikipedia
Vidéo : YouTube

 

Date de dernière mise à jour : 21/12/2017