Toucy
Située à 24 Kms d'Auxerre, à 120 Kms d'Orléans, à 150 Kms de Paris, Toucy est une des principales communes de la Puisaye, pays de bocage. Ses habitants sont des Poyaudins, habitants du terroir de la Puisaye.
Les armes de la commune se blasonnent ainsi : D'azur à la clef renversée d'or, au chef du même chargé de quatre merlettes de gueules.
Ce blason est inspiré de celui de Guillaume de Toucy, évêque d'Auxerre. Ces merlettes, dont le nombre varie de 1 à 9, se retrouvent dans bon nombre d'autres blasons. Elles représentent les ennemis vaincus et tués sur le champ de bataille ou, selon une autre interprétation, les croisades, les becs et les pattes coupés étant des signes de blessures.
Toponymie
Toucy a porté les toponymes suivants : Tociacus au VIIème siècle ; Toceium castrum vers 1100 ; Tusciacum en 1144 ; Toci en 1191 ; Thociacum en 1217 ; Touci en 1293 ; Tocy en 1339 ; Thocy en 1387 et en 1552 ; Thoucy en 1561 ; Toussy en 1622.
Hydrographie
Toucy est traversée par la rivière Ouanne, affluent du Loing.
La première mention du pagus de Toucy apparaît sur une plaque datée de 250, découverte au XIXème siècle à Sens, décrivant le cursus de Caïus Amatius Paterninus, défenseur public du pagus de Toucy.
A l’époque gallo-romaine, le pagus de Toucy, dépendant de la Civita de Sens (Agedincum), est alors assimilable à une grande partie de la Puisaye actuelle.
Des vestiges d’une villa gallo-romaine sont trouvés à 3 Kms à l'Est de Toucy, tout près d'un important atelier métallurgique.
L'évêque Héribert d'Auxerre (+996) fait élever en 980 un donjon sur la motte de Toucy, en rive droite de l'Ouanne. À la châtellenie initiale s'ajoute la résidence des puissants seigneurs de Toucy, baronnie issue de la Maison de Narbonne.
En 1060, au cours d'une guerre entre le comte d'Auxerre Guillaume III de Nevers (1110/1161) et le duc Robert Ier de Bourgogne dit le Vieux (1011/1076) allié au comte Thibault III de Blois (1019/1089), la ville est entièrement détruite.
Vers 1100, l'évêque d'Auxerre Humbaud (+1114) fait reconstruire le château des seigneurs. Il est de nouveau détruit en 1170 et reconstruit en pierre (voir § Patrimoine).
L’édification des fortifications, qui entourent complètement la ville, est entreprise au début du XIIIème siècle. À l'intérieur de l’enceinte, Guillaume de Toucy (+1181) se fait construire une maison épiscopale, le Petit Châtel, ainsi qu'une chapelle qui devient la collégiale Notre-Dame, vendue comme Bien National et démolie en 1793.
Au cours de la Guerre de Cent Ans, la ville prend le parti du roi de France contre les anglo-bourguignons. En 1420, Toucy se défend avec acharnement contre une attaque du maréchal Jean de Villiers de l’Isle-Adam (1384/1437) envoyé par le duc de Bourgogne, Philippe III dit le Bon (1396/1467).
Après la défaite royale de Cravant, une nouvelle troupe commandée par le maréchal Claude de Chastellux (+1453) et le duc de Suffolk, William de la Pole (1396/1450) prend Toucy en 1423. La ville est complètement détruite, ainsi que ses châteaux et églises.
En février 1429, Jeanne d'Arc (1412/1431 portrait de droite) traverse la cité dévastée et abandonnée alors qu'elle se rend d'Auxerre à Gien.
Au XVème siècle, une léproserie existe à Toucy.
Au XVIème siècle, après une longue période de désolation, Toucy se relève : les terres sont remises en valeur, des moulins sont construits, commerce et industrie se développent.
En 1523, Aymar de Prie, baron de Toucy, fait construire le château de la Motte-Miton, la place du Marché (actuelle place de l'Hôtel de ville) et une halle réservée au commerce des tissus. Toucy, se fait alors un nom pour la qualité de ses toiles. D'autres industries naissent et se développent dans le domaine du bois, du cuir, des matériaux de construction, pierre, brique, chaux et l'on fait appel à la force motrice des moulins à eau.
A partir de 1536, la reconstruction de la grande nef de l'église de style Renaissance est entreprise.
En 1592, la ville, occupée par les Ligueurs, est prise par les troupes royales d'Henri IV (1553/1610) et mise à sac ; les habitants se réfugient à Auxerre.
En 1751, Claude Nugues de Perratière, marquis de Toucy, fait raser le château de la Motte-Miton pour en reconstruire un autre (l’actuel). Toucy dépend alors de l'élection de Gien et de la généralité d'Orléans.
La Révolution de 1789 est bien accueillie et la plupart des prêtres prêtent serment à la constitution. L'abbé Charles Julliard, favorable aux idées révolutionnaires, devient maire de la ville. Une Garde Nationale remplace l'ancienne milice bourgeoise.
Le XIXème siècle et ses nombreux régimes voit le développement des routes, la restauration des ponts, la construction du chemin de fer et l'aménagement du bourg.
En décembre 1851, Toucy et ses alentours sont le théâtre d'un mouvement contestataire face au coup d'État de Louis Napoléon Bonaparte (1808/1873).
On dénombre 2 foires et 12 gros marchés annuels, 54 cafés, restaurants, auberges et hôtels dans la commune. En 1894, Toucy est la seule ville du département à posséder à la fois l'eau courante, l'électricité, une école supérieure de garçons et un cours complémentaire de filles.
En 1900, ce bourg très actif compte près de 3400 habitants et est animé par de nombreuses petites industries (briqueteries, filatures, tanneries) et d'importants marchés aux bestiaux.
Le 15 juin 1940, jour de marché, une partie de la vieille ville est détruite par un bombardement de l'armée allemande qui fait 80 victimes. Le même jour, une colonne de réfugiés en exode et de militaires en repli vers la Loire est bombardée au Nord de Toucy. Soldat présent au moment des faits, le philosophe Valentin Feldman (1909/1942 portrait de gauche), fusillé au Mont-Valérien, relate le bombardement de Toucy dans son Journal de guerre 1940-1941.
Le 5 octobre 1943, Félix François et six autres résistants sont arrêtés par les Allemands : ils sont torturés puis déportés ou fusillés et le réseau de résistance est démantelé.
En 1944, une importante station de radars allemande est construite dans la Plaine de Briant, elle est sabordée le 19 août, il en reste aujourd’hui quelques vestiges visibles.
Certains habitants résistent, parfois au péril de leur vie, notamment en sauvant des juifs : deux Justes de Toucy sont distingués par Israël.
A la fin des années 1960, des zones industrielles et artisanales sont aménagées.
En 1987, Toucy devient l'une des plus petites villes de France à accueillir un lycée.
Au début des années 2000, un plan de restauration du centre-ville est engagé afin de développer le tourisme.
Seigneurs et gens de la noblesse
Dans le Bas-Empire, le pagus de Toucy est une possession d’une riche famille gallo-romaine, seigneurs d'Appoigny, dont le fils est le futur évêque Germain d’Auxerre (380/448) qui lègue cette terre à son église cathédrale Saint-Étienne.
La baronnie de Toucy
Elle est créée par le comte Hugues de Chalon (975/1039) évêque d’Auxerre, au début du XIème siècle, par inféodation d’une partie du territoire qu’il contrôle, la Puisaye. Il se réserve, au Nord, un territoire formant une châtellenie qu’il n’inféode pas et donne Toucy, vers 1015, en fief à son cousin, Itier de Narbonne (985/1060) mon ancêtre (voir tableau Mes lointains ancêtres en bas de page).
Par son mariage en 1246 avec Thibaud II de Bar, Jeanne de Toucy (1232/1317) fille de Jean de Toucy (1208/1258) seigneur de Toucy et d’Emma de Laval, apporte le fief à la Maison lorraine des comtes de Bar.
A sa mort, le cardinal Louis Ier de Bar (1370/1430), baron de Toucy et seigneur de Puisaye, lègue Toucy à son neveu, Jean Jacques de Montferrat (1395/1445) fils du marquis Théodore de Montferrat, descendant des empereurs de Constantinople, et de Jeanne de Bar, sœur de Louis Ier.
En 1450, les seigneuries de Toucy et de Saint-Fargeau sont vendues par le dernier héritier de la Famille Montferrat à Jacques Cœur (1395/1456) marchand, négociant, banquier, armateur et grand argentier du roi Charles VII (1403/1461) qui rend hommage pour Toucy la même année, mais il est arrêté le 31 juillet 1451, tous ses biens sont confisqués par procès et redistribués avant même que le jugement soit rendu à Antoine de Chabannes (1408/1488), comte de Dammartin-en-Goële qui délaisse Toucy, en ruines pour s’installer au château de Saint-Fargeau. Son fils, Jean, décède, l’unité féodale de la Puisaye est rompue et la baronnie est divisée entre ses deux filles : Antoinette de Chabannes hérite de Saint-Fargeau et épouse René d’Anjou et Avoye de Chabannes hérite de Toucy et épouse Aymar de Prie (1453/1527) en 1504 ; leur postérité tient la seigneurie de Toucy pendant près de trois siècles. En l’honneur d’Henri de Prie, tué au siège de Montauban en 1621, la baronnie est érigée par le roi Louis XIII (1601/1643) en marquisat.
L’ultime héritière de cette lignée, Charlotte Eléonore Magdeleine de la Mothe-Houdancourt (1654/1744 portrait de gauche), duchesse de Ventadour, vend Toucy en 1720 au banquier écossais John Law de Lauriston (1671/1729), surintendant général des finances du roi Louis XV (1710/1774) mais la déchéance de dernier est proche, ses adversaires s’emparent de ses biens et le marquisat passe alors à Louis Ignace de Rehez (1671/1742) comte de Sampigny.
Le fils de ce dernier, François Charles de Sampigny le revend en 1729 à Jean Pâris de Monmartel (1690/1766 portrait de droite), l’un des quatre frères Pâris, banquiers sous les rois Louis XIV et Louis XV.
En 1751, Claude Nugues (°1707), seigneur de Perratière, rachète les parts du marquisat de Toucy à son oncle Armand Pâris de Monmartel dit Le Fou (1748/1781) et le lègue en 1762 à sa sœur Catherine Nugues, épouse de Vivant Micault de Courbeton.
Le dernier marquis de Toucy, Jean Vivant Micault de Courbeton (1725/1794) président à mortier au Parlement de Dijon, est guillotiné sous la Terreur.
Chronique communale
La métallurgie en Puisaye
Centres Celtes très actifs pour la production du fer en bas-fourneaux, les ferriers de Toucy sont parmi les plus grands de la Puisaye. D'importantes traces d'habitat gallo-romain lié à la métallurgie existent dans la plaine de Briant au Sud de Toucy.
À partir de la conquête romaine, l'exploitation du minerai de fer se développe et connaît son apogée aux IIème et IIIème siècles. Avec les premières invasions, son déclin commence.
Au début du Vème siècle, la production massive de fer a quasiment cessé, hormis une activité disparate et ponctuelle assurant essentiellement les petits besoins locaux qui persiste jusqu'à la fin du Haut Moyen Âge, avant un arrêt définitif, en grande partie pour cause d'épuisement des gisements de minerai de fer.
Patrimoine
Le premier château est construit en bois vers 980 par l’évêque Héribert d’Auxerre (+995), fils illégitime du duc de Bourgogne, Hugues dit le Grand (923/956) et demi-frère du roi des Francs Hugues Capet (939/996), sur le site surélevé en rive droite de l'Ouanne qu’on appelle toujours la Motte, où ses successeurs et lui-même séjournent, et où s’installent les premiers barons dépendants étroitement d’eux. Dès cette époque la baronnie inclut Saint-Fargeau et la seigneurie de Puisaye, qui en sont de simples dépendances.
En 1060, la ville est entièrement détruite et le château brûlé.
Vers 1100, l'évêque Humbaud d'Auxerre (1087/1114) le fait reconstruire, plus vaste, avec un donjon et une chapelle seigneuriale qui sert aussi d'église paroissiale. Toujours existante, adossée à l'actuelle église Saint-Pierre, la chapelle des Seigneurs ou chapelle du Saint-Sacrement était autrefois le cœur de la chapelle castrale.
Vers 1170, le baron Narjot II (1130/1192) et son cousin, l’évêque d’Auxerre, Guillaume de Toucy (+1181) font détruire le château afin d'en élever un autre en pierre selon une architecture militaire.
En 1423, le château est détruit lors de l’incendie qui détruit entièrement la ville après l’écrasante victoire anglo-bourguignonne de Cravant. L’incendie est si fort qu'il ne reste que les remparts pour marquer l'endroit de la ville.
Aujourd’hui, au sommet du château, se trouve une terrasse où autrefois se dressaient le Petit Châtel et la collégiale du XIIIème siècle vendue comme Bien National en 1793.
Le Petit Châtel est relevé en 1523 par l'évêque d’Auxerre, François Ier de Dinteville (+1530), mais le donjon et la maison seigneuriale sont abattus par le baron Aymar II de Prie pour reconstruire un nouveau château hors les murs de Toucy, le château de la Motte-Miton.
Le château de la Motte-Miton est édifié vers 1523 sur le site de la Motte-Miton déjà occupé par une construction fortifiée.
Au XVIIIème siècle, la terre de Toucy, devenue marquisat en l'honneur d'Henri de Prie tué en 1622 au siège de Montauban, est aux mains de financiers, dont le banquier écossais John Law de Lauriston (1671/1729 portrait de droite). En 1751, le marquis Claude Nugues, seigneur de Perratière, et récent acquéreur du marquisat de Toucy, fait démolir le château. Le château est converti en terrasse, les soubassements et une bonne partie des tours d'angle sont réutilisés pour construire un château moderne tel qu’il existe encore de nos jours.
Les vestiges du bâtiment du XVIème siècle sont encore visibles (base des tours). Le château possède un long corps de logis de 40m, encadré d'un côté de tours rondes coiffées de lanternons, de l'autre de pavillons carrés et d’un pigeonnier. Les bases des tours sont les restes visibles du bâtiment du XVIème siècle.
Le château abrite le presbytère catholique de l'ensemble paroissial Toucy/Pourrain/Leugny/Ouanne/Étais-la-Sauvin/Thury.
Le jardin est inscrit comme patrimoine culturel
Le château des Gillats construit au XVIIIème siècle est aujourd’hui un lieu de réception.
Le château de la Glaudonnerie abrite à présent la bibliothèque municipale.
L’église Saint-Pierre, construite en 1536 sur le site d'un édifice religieux détruit en 1423 par les Anglo-bourguignons dont les quatre piliers seraient les bases qui s’appuyaient sur les fortifications du XIème siècle, ressemble davantage à un petit château-fort qu'à une église.
La nef de 1538 s'appuie sur les remparts du XIème siècle. De l'ancienne église romane subsiste la chapelle des Seigneurs ou chapelle du Saint-Sacrement, adossée à l'actuelle église.
Les courtines sont restaurées au XIXème siècle.
Il reste les deux tours d'angle, appelées tour des Évêques au Nord et tour Saint-Michel à l'Ouest.
A l’intérieur, la travée au fond de la chapelle date du XIème siècle ; les grands orgues du XVIème siècle ; le portail d’entrée de 1670. Le chevet de 1890 est fortement remanié et s’ouvre sur trois vitraux. Les bas-côtés se terminent par deux autels Renaissance florentine avec de remarquables statues installées dans l'édifice au XIXème siècle.
Les cloches, deux datent de 1891 et la troisième de 1928, sont électrifiées dans les années 1950.
Le clocher, incendié par la foudre en 1878, est reconstruit. Un dôme de style oriental est ajouté à la tour Saint-Michel et des créneaux en pierre de Volvic bleue sont construits.
Elle est inscrite aux Monuments Historiques en 1926.
La tour de la Magdeleine de l'ancienne motte de Toucy au sommet de laquelle s'élevait autrefois un donjon.
L’Hôtel de ville de style néo-classique est édifié du milieu du XIXème siècle.
L’ancienne mairie, reconvertie en centre de recherches sur le vieux Toucy, est une construction typique de la Puisaye qui associe la pierre de fer, la brique et l'ocre.
La galerie de l'ancienne Poste, hôtel particulier du XVIIème siècle dénommé la Maison Carrée possède un soubassement en pierre de fer avec cartouches et gargouilles sur le pignon. Elle est dédiée à l'art céramique.
Plusieurs maisons à colombages rue Lucile-Cormier, rue du Marché, rue Neuve et place de l'Hôtel-de-Ville et de belles maisons bourgeoises du début du XXème siècle comme la Villa des pins et la Villa Moderne.
L’ancienne Caisse d'Epargne est une maison de style Eugénie.
La maison natale de Pierre Larousse et le buste-fontaine de ce dernier, place de la République.
Le petit train touristique de Puisaye-Forterre ou Transpoyaudin, et le musée de la vie ferroviaire à la gare de Toucy.
Au début du XXème siècle, on dénombre quatre gares sur le territoire communal : Toucy-ville etToucy-le haut sur la ligne du tacot, Toucy-ville et Toucy-Moulins sur les lignes Auxerre-Gien et Triguères-Clamecy. Le train touristique relie Villiers-Saint-Benoit au four à poterie de Moutiers-la-Bâtisse en passant par Toucy, sur l'ancienne ligne SNCF déclassée. Il partage son parcours avec le plus long cyclorail de France.
Personnages liés à la commune
Pierre Larousse (1817/1875 portrait de gauche) y est né. Pédagogue, encyclopédiste, lexicographe et éditeur français, il est surtout connu pour les dictionnaires qui portent son nom, dont Le Petit Larousse. Fils de Pierre Athanase Larousse, charron-forgeron, et de Louise Guillemos, cabaretière, il est un brillant élève qui obtient à 16 ans une bourse de l’université pour compléter sa formation à l'École Normale primaire à Versailles. De retour à Toucy, il devient, à 20 ans, instituteur communal. Sous l’enseigne Hôtel de la ville d’Auxerre, ses parents ouvrent une auberge en 1822 dans sa maison natale (image de droite).
En 1840, il repart pour Paris, où il suit pendant de longues années de nombreux cours. Ses études fournissent les fondations de ses recherches lexicographiques et encyclopédiques. À partir de 1849, il publie de nombreux textes pédagogiques, et en 1852 avec l’instituteur, Pierre Augustin Boyer, il fonde la célèbre maison d'éditions, la Librairie Larousse. En 1871, il est candidat aux élections législatives mais n’est pas élu. Il est un des très rares intellectuels et patrons à se rallier, comme ses ouvriers, à la Commune.
Il meurt d'une congestion cérébrale à Paris en 1875, l'année de la fondation de la société Larousse.
Pierre Grosnet (1460/1540) ecclésiastique et poète français, né à Toucy.
et d’autres encore…
Faubourgs, quartiers, hameaux, lieux dits et écarts
Les Bréchots, Champleau, Fours, les Hâtus, le Vernoy, les Bablots, les Grands Nains, Champeaux, les Avenières, Verrigny, les Crançons, la Camionnerie, les Berteaux.
Evolution de la population
Nos lointains ancêtres de la noblesse de Toucy ...
Carte Cassini
Sources
Sites et photo : Wikipedia, Musée du Louvre.
Date de dernière mise à jour : 06/09/2019