PRESENTATION DU DEPARTEMENT
L’Ille-et-Vilaine est un département de la région Bretagne, baigné par la Manche, son littoral de 110 kms appartenant à la côte d’Émeraude pour sa partie occidentale et à la baie du mont Saint-Michel pour sa partie orientale.
Il est localisé sur une dépression topographique, protégé des flux d’Ouest par les hauteurs du Massif armoricain et des influences continentales à l’Est avec les collines de Normandie et du Maine.
La partie centrale et littorale du département est de faible altitude, le plus souvent inférieure à 50 m dans la bande côtière et dans les vallées et moins de 100 m quasiment partout.
En limites occidentale et orientale se situent les reliefs les plus élevés : à l’Ouest, les collines de Bécherel (190 m) et la forêt de Paimpont (256 m) ; à l’Est, le Coglais et le pays de Fougères (251 m à La Chapelle-Janson).
Les bassins, creusés par l’érosion dans les schistes tendres, se développent de part et d’autre des rivières principales : au Nord, le bassin des affluents de la Rance et les bassins du Couesnon ; au centre et au Sud, les bassins de la Vilaine dont le plus important est celui de Rennes.
Les plateaux se trouvent : au Sud, sous forme de barres rocheuses constituées de schistes durs ou de grès armoricain, séparés par de larges vallées où coulent des affluents de la Vilaine ; au Nord, en bandes plus larges et plus uniformes constituées de schistes durs ou de granite alternant avec les bassins.
Les régions maritimes comprennent : l’Est de Cancale, les marais de Dol et du Mont Saint-Michel ; à l’Ouest un plateau de roches cristallines profondément entaillé par la Rance.
Origine du nom :
Le nom du département vient du fleuve la Vilaine et de son affluent l’Ille, qui ont leur confluence dans le centre de Rennes.
Héraldique :
D’hermine aux deux pals ondés d’azur.
Il n’y a pas de blason officiel, ces armoiries symbolisent la Bretagne et les deux rivières qui ont donné leurs noms au département, l’Ille et la Vilaine.
Langues :
Le Gallo est la langue traditionnelle du territoire, elle est surtout parlée dans la limite occidentale du département. Mais le Breton est également utilisé dans le département.
Histoire :
Une population celtique occupe le territoire avant l’invasion romaine. Elle se divise en plusieurs peuplades : les Coriosolites, les Diablintes sur le territoire d’Aleth et Dol, les Rhedones, au confluent de l’Ille et de la Vilaine.
L’Est de la Bretagne est seul soumis par les Francs. Clotaire Ier occupe entre autres Rennes, Nantes, et Aleth.
(Voir lien histoire de la Bretagne)
Patrimoine :
Plus de 1 000 manoirs et 400 châteaux, plus de 540 églises et chapelles, et 170 orgues (dont 14 protégées).
Des dizaines de sites mégalithiques.
7 Aires de mise en Valeur de l’Architecture et du Patrimoine (AVAP) : Bécherel, Châteaugiron, Dinard, Fougères, La Guerche-de-Bretagne, Saint-Lunaire et Saint-Malo.
2 secteurs sauvegardés : Rennes et Vitré.
6 jardins remarquables : Bazouges-la-Pérouse (La Ballue), Bréal-sous-Montfort (Brocéliande), Le Châtellier (Parc Botanique), Noyal-sur-Vilaine (L'Athanor), Pleugueneuc (La Bourbansais), Pleurtuit (Le Montmarin).
6 communes labellisées Communes du Patrimoine Rural de Bretagne : Cogles, Langon, Lohéac, Mellé, Saint-Christophe-de-Valains et Saint-Georges-de-Reintembault.
4 petites Cités de Caractère : Bazouges-la-Pérouse, Bécherel, Châteaugiron et Combourg.
3 Villes d'Art et d'Histoire : Fougères, Rennes Métropole et Vitré.
1 Ville Historique : Saint-Malo.
7 édifices labellisés Patrimoine du XXème siècle : Bruz (église), Dinard (maison Greystones), Goven (chapelle Notre- Dame), Le Minhic-sur-Rance (cale sèche de la Landriais), Rennes (église Sainte-Thérèse, chapelle de la Sainte-Famille et imprimerie Ouest-Eclair).
Un patrimoine naturel remarquable, des paysages exceptionnels abritant une faune et une flore très riches : Le Bois de Soeuvres à Vern-sur-Seiche, le Bois de Rumignon et le parc du château à Saint-Aubin-du-Cormier, le parc de la Higourdais à Epiniac, la Vallée Verte à Saint-Méloir-des-Ondes, le site de Bruzon à Saint-Senoux, le domaine de Careil et le lac de Trémelin à Iffendic, le barrage de la Cantache à Pocé-les-Bois, les îlots du bord de côte à Saint-Malo, les dunes des Chevrets à Saint-Coulomb, l'anse de Saint-Buc à Minihic-sur-Rance, l'étang du Blavon à Bédée, les dunes du Port à Saint-Coulomb, la baie du Mont Saint-Michel (photo ci-dessous) et les bouchots à moules au Vivier-sur-Mer, les Buttes de la Hautière à Muel, les Landes de Trekoet à Muel, l'Ile-aux-Pies à Bains-sur-Oust, l’arboretum d’Iffendic.
Les châteaux :
Le château de Fougères (photo ci-dessous), situé dans la partie Ouest de la ville-close, est construit sur le site naturellement protégé d'un rocher émergeant du marécage cerné d'une boucle du Nançon, affluent du Couesnon, faisant office de douves naturelles.
Le premier château fort, appartient, au XIème siècle à la famille de Fougères. Il est ruiné, démantelé et son donjon rasé, en 1166 après le siège du roi d'Angleterre, Henri II Plantagenêt (1133/1189). Raoul II le reconstruit vers 1173. Raoul III fait hommage de Fougères à Louis IX dit Saint-Louis (1214/1270). Pierre Ier de Bretagne dit Pierre de Dreux ou Mauclerc (1187/1250), s'empare de Fougères par surprise en 1231 mais Louis IX, à la tête de son armée, reprend la ville. Raoul III, compagnon d'armes de Louis IX lors de la 7ème croisade, meurt en 1256. Son unique fille, Jeanne Ière, épouse d'Hugues XII de Lusignan dit Le Brun (1238/1270) petit-fils de Pierre Mauclerc, fait construire les grandes tours Mélusine et des Gobelins, et dote la cité de portes fortifiées et de remparts.
Le roi Philippe IV dit le Bel (1268/1314) confisque la baronnie de Fougères en 1307. Jean de Montfort (1294/1345), duc de Bretagne, s'y installe mais Bertrand du Guesclin (1320/1380) s'empare de Fougères qui revient en 1373 à Pierre II d'Alençon (1340/1404). En 1428, Jean II d'Alençon (1409/1476) vend le château au duc de Bretagne pour payer sa rançon.
En 1449, en pleine trêve entre la France et l'Angleterre, François de Surienne dit l'Aragonais (1398/1462), aventurier à la solde des Anglais, attaque en pleine nuit avec ses 600 hommes. Les habitants sont massacrés et la ville est pillée. En 1450, il s'installe au château et s'y retranche. Ce n'est qu'après deux mois de siège par le duc de Bretagne François Ier (1414/1450), aidé par une épidémie de peste, que Surienne se rend.
Les fortifications sont augmentées par Pierre II de Bretagne dit Le Simple (1418/1457) au XVème siècle. Le château est doté de deux tours trapues, la Françoise et la Tourasse.
En 1488, Georges II de La Tremoille dit Le Sire de Craon (1437/1481), lieutenant général des armées royales, prend le château en une semaine malgré une défense composée de 3 000 hommes et le roi de France, Charles VIII dit l'Affable (1470/1498) laisse une garnison à Fougères, une fois rattachée au royaume de France, en 1491.
Diane de Poitiers (1499/1566, portrait de gauche), favorite royale, le reçoit du roi Henri II (1519/1559, portrait de droite) en 1547. Il devient alors le logis des gouverneurs de Fougères.
Philippe Emmanuel de Lorraine (1558/1602), duc de Mercœur et gouverneur de Bretagne, ligueur, en rébellion contre Henri III, s'empare du château en et s'y réfugie.
L'abbé Gilles Déric (1726/1800) nommé par Louis XV en 1773, est le dernier prieur jusqu’à la Révolution.
En 1793, le château est pris par les Chouans et les Vendéens.
Le logis du XIVème siècle est détruit vers 1810.
En 1820, la famille de Pommeureul, est propriétaire du château.
En octobre 1828, Honoré de Balzac (1799/1850) séjourne plusieurs semaines à Fougères chez Gilbert Anne François Zéphirin de Pommereul (1774/1860) général d'Empire. Il visite le château et l'ensemble de la région pour y puiser l'inspiration pour son roman Les Chouans, paru en 1829.
En 1879, Victor Hugo (1802/1885), dans son roman Quatre-vingt-Treize, s'inspire de la tour Mélusine qu'il décrit longuement : une haute et large tour, à six étages, percée çà et là de quelques meurtrières, ayant pour entrée et pour issue unique une porte de fer donnant sur un pont-châtelet.
Le château est vendu à la municipalité en 1892.
Aujourd'hui, si le logis seigneurial est en ruine, les tours s'élèvent encore avec majesté. Les remparts sont très bien conservés et forment trois enceintes.
À l'entrée, on trouve un moulin à eau quadruple dont les roues sont restaurées en 2013 et fonctionnent encore ; l'une d'elle fait tourner un générateur électrique.
Le château de Combourg (photo ci-dessous), forteresse située à mi-chemin de Rennes et de Saint-Malo, construite entre le XIIème et le XVème siècles sur une butte, au bord du Lac Tranquille.
En 1016, la seigneurie de Combourg est créée par l’archevêque de Dol, Ginguéné, fils du vicomte Haimon Ier d'Aleth, qui souhaite donner à son église un protecteur laïque tout en dotant sa famille. Il fait bâtir le château à quatre lieues de Dol et le confie à son frère, Riwallon (1015/1065), avec de vastes domaines sous sa mouvance, soit une quinzaine de paroisses et douze fiefs de chevalerie.
En 1162, Combourg passe à Yseult de Dol (1140/1197), fille de Jean II (1137/1162) seigneur de Combourg et en 1167, par alliance à Harcoul de Subligny (+1197).
Vers le milieu du XIVème siècle, la Maison de Châteaugiron-Malestroit en est le propriétaire.
En 1553, le château est acquis par héritage par Jean V de Coëtquen, 1er comte de Combourg en 1575. Au XVIIIème siècle son descendant, Malo Auguste de Coëtquen, dernier du nom, cède le château à sa fille, Louise Françoise Maclovie de Coëtquen, épouse en 1739 d’Emmanuel Félicité de Durfort (1715/1789, portrait de droite), duc de Duras.
En 1761, le couple vend le château à René Auguste de Chateaubriand (1718/1786) de Saint-Malo, engagé comme mousse dans la marine marchande, puis capitaine, enfin armateur enrichi par le commerce des Iles, époux d’Apolline de Bedée, dont le fils cadet est le futur écrivain François René de Chateaubriand (1768/1848, portrait de gauche) ; la famille s'y installe en mai.
En 1786, René Auguste meurt, paralysé et frappé de congestion, dans la tour dite de l'Est et est inhumé dans l'église du bourg. Son fils aîné Jean Baptiste, magistrat au Parlement de Paris et époux d'Aline Thérèse Le Peletier de Rosanbo, petite-fille de Chrétien Guillaume de Lamoignon de Malesherbes (1721/1794), hérite du château.
En 1794, Jean Baptiste, son épouse et son grand-père, avocat du Roi en 1793, sont guillotinés. Le domaine est confisqué, le château est pillé et brûlé, puis restitué en 1796 à Louis Geoffroy de Chateaubriand (1790/1873), âgé de sept ans qui n'y vient jamais, étant élevé avec son frère cadet Christian, à Malesherbes (Loiret) puis recueillis par son oncle et tuteur, Hervé Louis François Bonaventure Clérel, comte de Tocqueville (1772/1856) et père d'Alexis de Tocqueville. La demeure reste dans cet état pendant 80 ans.
Christian Marie Camille Geoffroy de Châteaubriand (1828/1889) confie la restauration de la demeure à l'architecte Ernest Thrile, élève d'Eugène Viollet-le-Duc entre 1866 et 1878. Cette quasi-reconstruction fait disparaître la chapelle de la tour dite du More, la salle des gardes et la cour intérieure, remplacées par un salon, une salle à manger, une cour aux ornements en pierre blanche de style Renaissance et un grand escalier en bois, rampe sur rampe, d'esprit XVIIème siècle, dont un des murs a conservé un grand cartouche peint d'une inscription en latin.
Le domaine passe à sa fille cadette Sybille (1876/1961), comtesse de Durfort, qui le transmet à son petit-neveu Geoffroy (1914/1971), comte de la Tour du Pin-Verclause, dans la famille duquel il est resté.
Les façades et toitures du château, ainsi que la salle des gardes et le vestibule font l’objet d’un classement au titre des Monuments Historiques en 1966, le reste du château est inscrit depuis 1926.
Fantômes et légendes
L'écrivain François René de Chateaubriand parle dans ses mémoires des fantômes qui hantent le château de Combourg. La pièce qui est l'épicentre de ce phénomène paranormal est la chambre rouge où dort René Auguste de Chateaubriand, son père :
Un des seigneurs de Combourg, Malo Auguste de Coëtquen (1679/1727), porte une jambe de bois après avoir perdu sa jambe droite à la bataille de Malplaquet en 1709, il meurt en 1727 sans son lit au château. Depuis, il hante les escaliers du château, parfois accompagné d'un chat noir dont on peut entendre les miaulements près de la Tour du Chat où François René de Chateaubriand a sa chambre.
Au cours de la restauration du château, les ouvriers découvrent le cadavre desséché d'un chat, emmuré derrière une poutre maîtresse datant du XVIème siècle. Cette découverte est immédiatement reliée à la légende du chat fantôme. L'animal momifié est exposé sous vitrine dans la chambre occupée par Chateaubriand enfant.
Le château de Montmuran (photo ci-dessous) est situé aux Iffs de Saint Brieuc-des-Iffs.
En l'an 1032, Alain III de Bretagne dit Rebrit (997/1040) fait construire l'Abbaye Saint-Georges de Rennes afin d'y accueillir sa sœur Adèle Ière de Bretagne (1032/1067). Il lui offre la seigneurie de Tinténiac avec un droit de haute justice, que l'Abbesse Adèle transforme en fief pour le chevalier Donoual, auquel elle demande de construire un château fort pour protéger ses terres. Il prend le nom de Donoual de Tinténiac et fait bâtir un premier château en 1036 sur le site même de la ville. Ce château, construit en bois comme les anciennes forteresses, est détruit et rasé en 1168 par les Plantagenêt.
Courant du XIIème siècle, l'Abbesse Adélaïde II de Vitré, se sentant impuissante à mener à bien la défense de ses terres, demande la construction d'une véritable forteresse de pierre. En 1170 le seigneur de Tinténiac fait construire un nouveau château de pierre. Durant le XIVème siècle, le château, composé en plus du donjon de sept tours reliées par des courtines, est la plus puissante forteresse de la région.
En 1352, au beau milieu de la Guerre de succession de Bretagne de 1341 à 1364, il passe à la famille de Laval par Jean de Laval-Châtillon (1325/1398), parents par alliance de la famille de Montfort qui règne sur le Duché de Bretagne de 1364 à l'union définitive du duché au royaume de France en 1562.
En 1354, le Jeudi Saint, le chevalier Alacres de Marès, normand du Pays de Caux, adoube chevalier Bertrand du Guesclin (1320/1380, portrait de gauche) dans la chapelle du château, pour avoir, entre autres, héroïquement sauvé Montmuran des anglais.
En 1374, Bertrand du Guesclin, alors Connétable du roi de France et veuf de Tiphaine Raguenel (1335/1373), astrologue bretonne, épouse Jeanne de Laval-Tinténiac (1350/1437), toujours dans cette même chapelle du château et devient propriétaire du domaine par alliance. A sa mort, Jeanne de Laval-Tinténiac se remarie avec son propre cousin en 1384, Guy XII de Laval (1345/1412), de manière à ce que le château reste dans la famille.
En 1547, la dernière descendante des Laval, Charlotte de Laval (1530/1568) épouse, dans la chapelle du château, l’amiral Gaspard II de Coligny (1519/1572, portrait de droite) qui est plus tard victime du Massacre de la Saint-Barthélemy.
La famille de Coligny occupe Montmuran jusqu'en 1643. Puis, la famille Hamilton, écossaise francisée, habite le château. En 1664, Henri Pélage de Coëtquen, seigneur de Combourg, en devient propriétaire jusqu'en 1693. Montmuran est ensuite occupé de 1693 à1750 par la famille de Mornay. En 1750, Jean Guillaume Toussaint Picquet, comte de La Motte dit La Motte-Picquet (1720/1791, portrait de gauche) le rachète, mais il émigre dans les îles anglo-normandes en 1789 à l'aube de la Révolution Française. Le château est saisi comme Bien National puis revendu en 1794 à la famille Bizien du Lézard qui reste propriétaire du château jusqu'en 1888, date à laquelle Olivier de La Villéon (1856/925), frère du peintre post-impressioniste Emmanuel de La Villéon (1858/1944), rachète Montmuran, qui est resté dans la famille depuis.
Actuellement, le château, auquel on accède par une allée boisée, est composé de deux tours du XIIème siècle au Nord, d'un imposant châtelet du XIVème siècle composé de deux tours avec machicoulis encadrant l'entrée défendue par une herse, des douves, et deux ponts-levis toujours en état de marche. La partie centrale, comportant une enfilade de salons, est un corps de logis qui date du XVIIème siècle remanié au XVIIIème siècle. Le château dispose d'une orangerie et de différentes dépendances du XVIIIème siècle.
Le château est classé au titre des Monuments Historiques en 2003, les dépendances le sont depuis 2000.
Et encore … Le Château de La Ballue à Bazouges-la-Pérouse du XVIIème siècle et ses jardins labellisés Jardin remarquable ; le Château du Bois-Bide à Pocé-les-Bois du XIXème siècle ; le Manoir du Bois Orcan à Noyal-sur-Vilaine et ses parc et jardin labellisés ; le Château de Bonnefontaine à Antrain, du XVIème siècle Renaissance bretonne et son parc de 25 ha ; le Fort National, le Château du Bos, le château du Petit Bé, la Tour Solidor à Saint-Malo ; le Château de la Bourbansais à Pleugueneuc, son zoo et ses jardins classés ; le Château de Caradeuc à Bécherel et son parc de 40 ha ; le Château de la Foltière à Le Chatellier et son jardin botanique de Haute-Bretagne, labellisés ; le Château de Montmarin à Pleurtuit du XVIIIème siècle et ses jardins classés ; le Château du Nessay à Saint-Briac-sur-Mer ; le Château des Rochers-Sévigné à Vitré …
Dans ce département, 1 ville
a été témoin de la vie (naissance, mariage)
de 3 lointains ancêtres du Xème siècle
Cantons du département (2017)
Sources
Sites et photo : Wikipedia, Mission patrimoine des Archives d’Ille-et-Vilaine, Les espaces naturels et sauvages.
Date de dernière mise à jour : 16/12/2017